Netgear a annoncé le lancement en France d'une nouvelle gamme de caméras de sécurité pour le grand public qui présente l'intérêt d'être totalement sans fils. Elles fonctionnent effectivement sur batterie.
Netgear lance « Arlo », qu'il présente comme « la première caméra de sécurité domestique 100 % sans fils ». L'équipementier réseau commercialise pourtant des produits similaires depuis 3 ans, la gamme VueZone, suite au rachat d'un fabricant.
Cette solution de vidéosurveillance n'en demeure pas moins intéressante. Elle offre en tout cas une facilité et une liberté d'installation inégalée. Il suffit de fixer le support magnétique à l'emplacement de son choix, sans se soucier ni du passage du câble réseau, ni de celui du câble d'alimentation électrique, ni même des intempérie. La caméra Arlo est effectivement résistante aux intempéries, aux températures de -10 à 50°C, et elle fonctionne sur batterie.
En contrepartie pour économiser de l'énergie, la caméra Arlo n'a pas vocation à enregistrer en permanence. L'enregistrement n'est lancé, ainsi que l'alerte, que lorsque le capteur de mouvement est déclenché. La caméra embarque un capteur HD 720p associé à une lentille ultra grand angle à 130° et à des LED infrarouges pour la vision dans l'obscurité la plus totale. Les fichiers sont enregistrés « dans le cloud », sur un service en ligne offrant 1 Go d'espace de stockage, ce qui correspond selon le fabricant à 7 jours « d'enregistrements classiques », sans plus de précision. L'autonomie de la batterie n'est malheureusement pas communiquée.
La solution Arlo est commercialisée sous la forme d'un kit VMS3130 comprenant une caméra, des fixations, une station d'accueil (ce qui révèle que la liaison sans-fil emploie une technologie propriétaire et pas du Wi-Fi) et une application, au prix public de 270 euros. Des kits VMS3230 et VMS3330 avec deux et trois caméras sont vendus 400 et 520 euros, soit la seconde caméra pour 130 euros et la troisième pour 120, la caméra VMC3030 avec ses fixations étant vendue séparément pour 170 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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