En direct de Berlin. Netgear a profité de l'IFA pour annoncer le rachat de la société Avaak, spécialisée dans la vidéosurveillance, et par la même occasion la commercialisation de sa gamme « VueZone ».
Les caméras de la gamme « Netgear VueZone », telle qu'elle est désormais baptisée, présentent la particularité d'être totalement sans fil, sans même un cordon d'alimentation. Les récents progrès en consommation d'énergie leurs permettent effectivement d'être alimentées par deux piles, qui leurs confèreraient une autonomie d'environ six mois.
Elles sont également assez légères pour que leurs supports soient de simples sphères ou hémisphères aimantées. Leur installation est ainsi on ne peut plus simple. L'un dispose d'un autocollant, l'autre d'une ventouse. Un troisième dispose d'un boîtier étanche et a vocation à être solidement vissé en extérieur.
La gamme comprend :
une centrale, connectée à Internet par Ethernet et jusqu'à 16 caméras par radio (bande des 2,4 GHz)
une caméra, photographiant en 1600 x 1200 ou filmant en 640 x 480 pixels
une même caméra à détecteur de mouvement
une même caméra à détecteur de mouvement et vision infrarouge
La centrale s'interface avec un service en ligne, accessible au travers d'un navigateur Internet et d'applications mobiles. Le service gratuit donne accès à la surveillance en direct de deux caméras et aux photos prises en cas de détection de mouvement. Pour 50 euros/an, les utilisateurs bénéficient en plus d'enregistrements vidéo, et pour 20 euros de plus d'un nombre illimité de caméras, vendues entre 70 et 140 euros.
La gamme « Netgear VueZone » ne sera disponible en France qu'à la moitié du quatrième trimestre. Elle sera en revanche commercialisée en Allemagne très prochainement. Un lot comprenant la centrale, deux caméras à détection de mouvement et quelques supports dont un d'extérieur y sera par exemple vendu 300 euros.
D'autres produits issus d'Avaak, dans le domaine de la domotique, devraient également être commercialisés par Netgear dans un peu plus de six mois.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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