Verbatim a récemment annoncé le MediaShare Wireless, un appareil permettant d'accéder à divers supports de stockage depuis un ou plusieurs terminaux mobiles.
Le spécialiste du stockage Verbatim lance cette semaine en France le MediaShare Wireless, qui permet comme son nom l'indique de partager sans fil des contenus multimédias.
En d'autres termes, le MediaShare Wireless est une alternative aux disques durs Wi-Fi du marché, dépourvue de son propre espace de stockage. C'est donc une passerelle entre un support de stockage et un téléphone ou une tablette fonctionnant sur batterie.
L'appareil se relie d'une part à un ou plusieurs supports de stockage : il dispose pour ce faire d'un emplacement pour carte mémoire SD et d'un port USB 2.0, permettant de connecter un disque dur externe ou une clé USB. Puis il se relie d'autre part à un ou plusieurs iPhone, iPad, smartphone ou tablette Android via Wi-Fi, jusqu'à cinq simultanément, au travers d'une application maison.
Cette application permet essentiellement d'échanger des données entre les supports de stockage et les terminaux, dans un sens comme dans l'autre. Elle prend en charge la lecture directe (en streaming) de photos, de musique et de vidéos en HD. Elle permet donc de libérer de l'espace de stockage sur les terminaux mobiles, mais aussi de copier des fichiers d'un support de stockage à un autre, les photos d'une carte SD vers un disque dur externe par exemple. À domicile, elle permet aussi de configurer l'appareil comme passerelle avec la box, pour maintenir la connexion à Internet, puisqu'on ne peut se connecter qu'à un réseau Wi-Fi en même temps.
Mesurant 112 x 79 x 14 mm pour 127 g, l'appareil abrite enfin une batterie de 3000 mAh. Il peut diffuser de la vidéo depuis une carte SD pendant 9 h ou bien recharger un appareil au travers de son port USB.
Le Verbatim MediaShare Wireless est dès à présent disponible en France au prix public de 70 euros.
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Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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