Prixtel annonce aujourd'hui le lancement de l'offre ADSL « Prixtel Box », avec laquelle il offre une alternative à ce qu'il appelle le « triple pay ». Partant du constat que la moitié des 20 millions d'abonnés n'exploitent pas la télévision, l'« agitateur télécom » s'en tient pour ce faire aux fondamentaux en n'incluant que l'accès à internet, pour 22,99 euros/mois en dégroupage total.
Au prix d'appel de 19,99 euros/mois s'ajoute effectivement obligatoirement les 3 euros/mois de location de la box, quand bien même l'abonné disposerait de son propre routeur ADSL. Une démarche décevante de la part d'un opérateur prônant à ce point la transparence face à la concurrence.
Appels illimités vers fixes et/ou mobiles en option
Premier opérateur virtuel à lancer une offre d'accès à internet, Prixtel poursuit avec son partenaire sur le mobile en exploitant l'infrastructure ADSL de SFR. La « box » provient d'ailleurs du même fournisseur, et permet de bénéficier d'appels téléphoniques facturés à la consommation. L'offre est néanmoins modulable et les appels « illimités » (3 h maximum par appel) sont en option : 5 euros/mois vers les fixes en France et/ou 5 euros/mois vers les mobiles.
L'offre « Prixtel Box » présente l'intérêt de n'être soumise à aucun engagement, à aucun frais de mise en service et à aucun frais de résiliation.
Prixtel se frotte ainsi à l'offre « no !Box » d'OVH, facturée à partir de 19,98 euros/mois en dégroupage total, ainsi qu'à l'offre double play « AliceBox Initial », qui inclut pour 19,90 euros/mois le prêt de la box et les appels vers les postes fixes de 60 destinations, mais est soumise en contrepartie à un engagement d'un an et à des frais de mise en service de 40 euros et de résiliation de 45 euros. À offre équivalente (internet et appels vers les fixes), l'offre « AliceBox Initial » est donc plus rentable dès le 13e mois.
Les souscriptions à l'offre « Prixtel Box » ouvriront demain matin. Prixtel compte recruter 25 000 abonnés d'ici la fin de l'année, profitant notamment du grand nombre d'abonnés qui sont encore libre d'engagement suite à la hausse de TVA.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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