Philips se lance à son tour sur le marchéflorissant des enceintes portables, destinées à écouter de la musique en extérieur, avec une gamme plus accessible et plus variée que chez la concurrence.
Shoqbox Bluetooth SB7100 : commande gestuelle
Modèle le plus haut de gamme, la « Shoqbox Bluetooth SB7100 » est destinée à concurrencer directement les enceintes sophistiquées de type Jambox. Elle s'en démarque en proposant une fonction innovante : des commandes gestuelles, pour passer au morceau suivant ou mettre en pause, en passant sa main devant un capteur.
On retrouve par ailleurs les fonctionnalités habituelles du segment : un son « riche et puissant » émanant de deux haut-parleurs de 4 W et d'un renforcement des basses « wOOx », une connectivité Bluetooth (aucun codec avancé n'est mentionné) et un micro pour la diffusion de musique mais aussi pour des appels mains libres, et une batterie offrant 8 h d'autonomie.
Elle est disponible dès à présent au prix public de 150 euros.
SoundShooter SBT30 : le Bluetooth accessible
Avec sa forme de tonneau ou de grenade et son esthétique sortant de l'ordinaire, la « SoundShooter SBT30 » mise sur la connectivité Bluetooth à un prix abordable. Pour ce faire, elle n'embarque qu'un seul haut-parleur de 2 W et abandonne les fonctionnalités avancées que sont la commande gestuelle et le microphone. Son autonomie est de 8 h également.
Elle sera commercialisée au mois d'août pour 50 euros.
SoundShooter SBA3010 et SBA1610
Philips lance enfin deux enceintes portables premier prix, qui abandonnent la connectivité sans fil. La « SoundShooter SBA3010 » n'est ni plus ni moins qu'une variante filaire de la SBT30 susmentionnée, troquant le Bluetooth pour un câble rétractable à connecteur jack 3,5 mm. La « SBA1610 » quant à elle dispose d'une forme allongée et d'un jack 3,5 mm articulé lui permettant de servir de support à certains smartphones.
Ces deux enceintes seront lancées au mois d'août pour la modique somme de 20 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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