Les chaînes de la TNT n'attendront pas les évolutions de la norme de diffusion TNT pour passer en haute définition... sur d'autres réseaux. Trois chaînes viennent ainsi de passer en HD sur le satellite, sur le bouquet gratuit Fransat.
Les chaînes concernées, avec leur numérotation, sont les suivantes :
NT1 HD : numéro 10
TMC HD : numéro 11
NRJ12 HD : numéro 12
Ces trois chaînes ne sont encore diffusées qu'en définition standard (SD) sur la TNT, celle qu'on capte avec une antenne dite râteau sur le toit.
On attend pour rappel la généralisation du MPEG-4 H.264 sur la TNT. Cette norme d'encodage, plus moderne et plus efficace que le MPEG-2 encore utilisé pour les chaînes diffusées en SD, permet de libérer des ressources et d'étendre la haute définition à tout ou partie des chaînes restées à l'âge de pierre. Mais des discussions sont en cours car l'attribution en 2016 d'une grande partie de la bande des 700 MHz à la téléphonie mobile 4G pourrait bien remettre en cause l'ambition de généraliser la haute définition. Il ne resterait aucune place pour de futures évolutions, telles que l'Ultra HD.
Mais si la TNT est le canal de diffusion de la télévision le plus employé, les autres réseaux - que sont l'Internet (l'IPTV via ADSL et consorts), le câble et le satellite - prennent de plus en plus d'ampleur. Et ils prennent les devants. Des chaînes comme France 3, France 5, D8, W9, NRJ12 ou France 4 sont ainsi déjà disponibles en haute définition, selon une répartition variable, chez Free ou Numericable par exemple.
C'est en revanche une première pour TMC et NT1, par le biais du bouquet satellite Fransat, donc.
Et c'est quoi qu'il en soit la preuve que les chaînes sont prêtes, et que ce n'est plus qu'une question de « politique », avec les enjeux exposés dans nos précédents articles sur la généralisation de la HD et la disparition de la TNT payante. Autrement dit, la génération de la TNT Ultra HD, bien que la technologie soit mature, n'est pas pour tout de suite !
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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