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SFR réagit à la relaxe par le tribunal correctionnel de Paris d'Etienne Cendrier, accusé de propos "diffamatoires" à l'encontre des opérateurs mobiles.
Etienne 'Robin des Toits' Cendrier est relaxé. Mardi 2 mai 2006, le tribunal correctionnel de Paris a reconnu à l'accusé le "bénéfice de la bonne fois", malgré le caractère "diffamatoire" de ses propos à l'encontre des opérateurs mobiles.
Porte-parole de l'association Robin des Toits (robindestoits.org), Etienne Cendrier avait indiqué dans une interview publiée le 9 novembre 2003 par le Journal du Dimanche : "La téléphonie mobile doit être compatible avec la santé publique. Ce n'est pas le cas aujourd'hui. Les opérateurs dissimulent les vraies expositions de la population pour une histoire de gros sous."
Les trois opérateurs français de réseaux mobiles ont porté plainte. Bouygues Telecom a attaqué au civil l'auteur de ces propos, Orange et SFR ont attaqué le Journal du Dimanche au pénal, ainsi que M. Cendrier pour complicité de diffamation. Dans le différend qui oppose le porte-parole de Robin des Toits à SFR, le tribunal correctionnel a choisi la relaxe. Toutefois, l'opérateur affirme : "Malgré cette relaxe, le tribunal n'a en aucune façon considéré que les propos incriminés étaient exacts."
Avant d'insister : "Contrairement aux allégations d'Etienne Cendrier, les mesures de champs électromagnétiques sont réalisées dans la plus parfaite transparence par des bureaux de contrôle indépendants, accrédités COFRAC et selon le protocole de mesure en vigueur établi par l'Agence nationale des fréquences."
SFR a également réaffirmé que les antennes de téléphonie mobile font l'objet d'un consensus scientifique au plan international (OMS et "experts sanitaires"), à savoir qu'il n'y a pas de danger pour la santé à vivre près d'une antenne-relais."
Etienne 'Robin des Toits' Cendrier est relaxé. Mardi 2 mai 2006, le tribunal correctionnel de Paris a reconnu à l'accusé le "bénéfice de la bonne fois", malgré le caractère "diffamatoire" de ses propos à l'encontre des opérateurs mobiles.
Porte-parole de l'association Robin des Toits (robindestoits.org), Etienne Cendrier avait indiqué dans une interview publiée le 9 novembre 2003 par le Journal du Dimanche : "La téléphonie mobile doit être compatible avec la santé publique. Ce n'est pas le cas aujourd'hui. Les opérateurs dissimulent les vraies expositions de la population pour une histoire de gros sous."
Les trois opérateurs français de réseaux mobiles ont porté plainte. Bouygues Telecom a attaqué au civil l'auteur de ces propos, Orange et SFR ont attaqué le Journal du Dimanche au pénal, ainsi que M. Cendrier pour complicité de diffamation. Dans le différend qui oppose le porte-parole de Robin des Toits à SFR, le tribunal correctionnel a choisi la relaxe. Toutefois, l'opérateur affirme : "Malgré cette relaxe, le tribunal n'a en aucune façon considéré que les propos incriminés étaient exacts."
Avant d'insister : "Contrairement aux allégations d'Etienne Cendrier, les mesures de champs électromagnétiques sont réalisées dans la plus parfaite transparence par des bureaux de contrôle indépendants, accrédités COFRAC et selon le protocole de mesure en vigueur établi par l'Agence nationale des fréquences."
SFR a également réaffirmé que les antennes de téléphonie mobile font l'objet d'un consensus scientifique au plan international (OMS et "experts sanitaires"), à savoir qu'il n'y a pas de danger pour la santé à vivre près d'une antenne-relais."
