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Fin février 2006, le taux de numéros fixes inscrits dans les bases d'annuaires était supérieur à 70%, alors que celui des numéros mobiles ne dépassait pas 1,3%.
En France, opérateurs et abonnés mobiles boudent l'annuaire universel. Fin février 2006, le taux de numéros fixes inscrits dans les bases d'annuaires était supérieur à 70%, en revanche celui des numéros mobiles ne dépassait pas 1,3%, contre 1,2% un mois auparavant, peut-on lire dans la troisième édition de l'Observatoire mensuel publiée lundi par l'Arcep.
Rappelons que, conformément au décret paru le 13 juin 2005, les opérateurs fixes et mobiles sont censés céder leurs listes d'abonnés aux éditeurs d'annuaires et aux fournisseurs de renseignements téléphoniques qui en font la demande. Les opérateurs sont aussi dans l'obligation d'informer leurs clients de leurs droits, à savoir : "Faire paraître gratuitement dans les annuaires leurs numéros et leurs coordonnées ou en restreindre l'usage".
Le régulateur a relancé les opérateurs suite au lancement national des nouveaux numéros du renseignement en 118.xyz, le 2 novembre dernier. Rien n'y fait : "La plupart des opérateurs n'ont à ce jour pas encore cédé leurs listes d'abonnés ou ne les ont cédées qu'à un ou deux prestataires spécialisés".
Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette situation : La téléphonie fixe est rodée à l'exercice, l'historique France Télécom en tête, ce qui n'est pas le cas de la téléphonie mobile. Par ailleurs, les listes de clients valent de l'or et les opérateurs tiennent à leur manne. Enfin, les abonnés à la téléphonie mobile sont réticents à l'idée d'autoriser la publication de leurs numéros dans les annuaires.
A ce propos, la proportion moyenne de numéros mobiles inscrits dans les bases des annuaires ne dépasse toujours pas 20.000 pour Orange France et Bouygues Telecom respectivement (soit un taux d'inscription de 0,1%). Tandis que SFR annonce un taux de numéros inscrits de 2% à 5% (plus de 500.000).
En France, opérateurs et abonnés mobiles boudent l'annuaire universel. Fin février 2006, le taux de numéros fixes inscrits dans les bases d'annuaires était supérieur à 70%, en revanche celui des numéros mobiles ne dépassait pas 1,3%, contre 1,2% un mois auparavant, peut-on lire dans la troisième édition de l'Observatoire mensuel publiée lundi par l'Arcep.
Rappelons que, conformément au décret paru le 13 juin 2005, les opérateurs fixes et mobiles sont censés céder leurs listes d'abonnés aux éditeurs d'annuaires et aux fournisseurs de renseignements téléphoniques qui en font la demande. Les opérateurs sont aussi dans l'obligation d'informer leurs clients de leurs droits, à savoir : "Faire paraître gratuitement dans les annuaires leurs numéros et leurs coordonnées ou en restreindre l'usage".
Le régulateur a relancé les opérateurs suite au lancement national des nouveaux numéros du renseignement en 118.xyz, le 2 novembre dernier. Rien n'y fait : "La plupart des opérateurs n'ont à ce jour pas encore cédé leurs listes d'abonnés ou ne les ont cédées qu'à un ou deux prestataires spécialisés".
Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette situation : La téléphonie fixe est rodée à l'exercice, l'historique France Télécom en tête, ce qui n'est pas le cas de la téléphonie mobile. Par ailleurs, les listes de clients valent de l'or et les opérateurs tiennent à leur manne. Enfin, les abonnés à la téléphonie mobile sont réticents à l'idée d'autoriser la publication de leurs numéros dans les annuaires.
A ce propos, la proportion moyenne de numéros mobiles inscrits dans les bases des annuaires ne dépasse toujours pas 20.000 pour Orange France et Bouygues Telecom respectivement (soit un taux d'inscription de 0,1%). Tandis que SFR annonce un taux de numéros inscrits de 2% à 5% (plus de 500.000).
