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Le ministre délégué à l'industrie, Patrick Devedjian, veut éclaircir le dossier des défaillances des réseaux de télécommunications de France Télécom, d'une part, du troisième opérateur mobile français, Bouygues Telecom, d'autre part.
Les 30 et 31 octobre dernier, le réseau de téléphonie fixe de l'opérateur historique a connu quelques ratés. Quant au réseau mobile de Bouygues Telecom il ne répondait plus mercredi 17 novembre.
Limites informatiques ? Pannes exceptionnelles ? Malveillance ?
Préjudiciables aux particuliers comme aux sociétés et aux administrations, les services d'urgence en particulier, ces dysfonctionnements mettent en danger populations et infrastructures à l'heure où la communauté internationale tente de limiter la montée en puissance du terrorisme global.
Dans ce contexte, Patrick DEVEDJIAN a estimé que parallèlement aux expertises internes menées par les opérateurs concernés, une enquête devait être menée par un chargé de mission nommé par le ministère français en charge des télécoms.
Jean-Michel HUBERT, ex-Président de l'ART désormais responsable du Conseil stratégique des technologies de l'information (CSTI), a été chargé de cette lourde tâche. Dans un communiqué daté du 18 novembre 2004, le ministère a précisé que M. HUBERT devra : encadrer cette investigation, déterminer les causes des dysfonctionnements, évaluer leur impact, et proposer des solutions techniques et administratives pour éviter de tels déboires à l'avenir.
France Télécom et la filiale mobile du groupe Bouygues vont vraisemblablement coopérer à cette enquête. Les conclusions sont attendues par le ministère avant Noël 2004.
Un coup dur pour les produits Visio de l'opérateur historique ?
Les 30 et 31 octobre dernier, le réseau de téléphonie fixe de l'opérateur historique a connu quelques ratés. Quant au réseau mobile de Bouygues Telecom il ne répondait plus mercredi 17 novembre.
Limites informatiques ? Pannes exceptionnelles ? Malveillance ?
Préjudiciables aux particuliers comme aux sociétés et aux administrations, les services d'urgence en particulier, ces dysfonctionnements mettent en danger populations et infrastructures à l'heure où la communauté internationale tente de limiter la montée en puissance du terrorisme global.
Dans ce contexte, Patrick DEVEDJIAN a estimé que parallèlement aux expertises internes menées par les opérateurs concernés, une enquête devait être menée par un chargé de mission nommé par le ministère français en charge des télécoms.
Jean-Michel HUBERT, ex-Président de l'ART désormais responsable du Conseil stratégique des technologies de l'information (CSTI), a été chargé de cette lourde tâche. Dans un communiqué daté du 18 novembre 2004, le ministère a précisé que M. HUBERT devra : encadrer cette investigation, déterminer les causes des dysfonctionnements, évaluer leur impact, et proposer des solutions techniques et administratives pour éviter de tels déboires à l'avenir.
France Télécom et la filiale mobile du groupe Bouygues vont vraisemblablement coopérer à cette enquête. Les conclusions sont attendues par le ministère avant Noël 2004.
Un coup dur pour les produits Visio de l'opérateur historique ?
