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L'électronicien allemand Siemens va intensifier sa politique de réduction coûts et ne prévoit pas de fusion de ses activités dans la téléphonie mobile.
Suite aux rumeurs qui courraient dans la presse allemande la semaine passée, l'électronicien Siemens a confirmé aujourd'hui qu'il comptait intensifier les réductions de coûts dans son activité réseaux de télécommunications, en supprimant 6.500 emplois supplémentaires dans cette division. Ces suppressions de postes s'ajoutent aux 10.000 emplois sur 53.000 déjà supprimés dans cette activité.
Cependant, ses résultats trimestriels semblent se redresser. Le groupe munichois a enregistré pour le deuxième trimestre de son exercice en cours, un bénéfice net de 1,28 milliard d'euros, supérieur aux prévisions des analystes (et contre 578 millions un an auparavant). Cependant, Siemens a indiqué que ce résultat avait été dopé par un gain net de 561 millions d'euros lié à ses participations dans le fabricant de semi-conducteurs Infineon Technologies.
Parallèlement, la firme qui a conclu avec un accord de licence pour vendre sous la marque Siemens des téléphones de la dernière génération produits par l'américain, en attendant de développer sa proche technologie, a précisé n'avoir actuellement aucun projet de fusion de ses activités dans la téléphonie mobile.
« Nous n'avons pas l'intention de partager cette technologie. Infineon nous fournit actuellement 75% des semi-conducteurs nécessaires aux infrastructures. C'est pour nous une économie de temps et de coût. Nous n'envisageons pas de fusion au niveau des infrastructures actuellement », a déclaré le président du directoire Heinrich von Pierer.
Suite aux rumeurs qui courraient dans la presse allemande la semaine passée, l'électronicien Siemens a confirmé aujourd'hui qu'il comptait intensifier les réductions de coûts dans son activité réseaux de télécommunications, en supprimant 6.500 emplois supplémentaires dans cette division. Ces suppressions de postes s'ajoutent aux 10.000 emplois sur 53.000 déjà supprimés dans cette activité.
Cependant, ses résultats trimestriels semblent se redresser. Le groupe munichois a enregistré pour le deuxième trimestre de son exercice en cours, un bénéfice net de 1,28 milliard d'euros, supérieur aux prévisions des analystes (et contre 578 millions un an auparavant). Cependant, Siemens a indiqué que ce résultat avait été dopé par un gain net de 561 millions d'euros lié à ses participations dans le fabricant de semi-conducteurs Infineon Technologies.
Parallèlement, la firme qui a conclu avec un accord de licence pour vendre sous la marque Siemens des téléphones de la dernière génération produits par l'américain, en attendant de développer sa proche technologie, a précisé n'avoir actuellement aucun projet de fusion de ses activités dans la téléphonie mobile.
« Nous n'avons pas l'intention de partager cette technologie. Infineon nous fournit actuellement 75% des semi-conducteurs nécessaires aux infrastructures. C'est pour nous une économie de temps et de coût. Nous n'envisageons pas de fusion au niveau des infrastructures actuellement », a déclaré le président du directoire Heinrich von Pierer.
