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Vodafone lance la guerre des prix sur le marché britannique du GPRS en proposant le Timeport 260 moitié moins cher que BT Cellnet.
L'opérateur britannique Vodaphone Group Plc commercialise le Motorola Timeport 260 GPRS moitié moins cher que son concurrent British Telecom (BT Cellnet).
Vodafone propose le modèle Motorola Timeport 260 GPRS au tarif de 99,99 livres (1000 francs environ) pour un abonnement mensuel de 7,49 livres (moins de 80 francs.) Cette offre est disponible ce vendredi sur le marché britannique grand public.
De son côté, BT Cellnet vend depuis peu ce même appareil deux fois plus cher (199 livres), le tarif de l'abonnement reste légèrement plus cher (7,99 livres) que celui proposé par Vodafone.
La technologie GPRS (General packet radio service) autorise une connexion permanente à Internet avec des taux de transfert près de quatre fois supérieurs à ceux du GSM.
Sa commercialisation est considérée comme un test grandeur nature visant à évaluer la «solidité» de la demande en matière de haut débit, avant le lancement de la téléphonie mobile de troisième génération (3G).
En Europe, les opérateurs ont investi plus de 100 milliards d'euros dans l'acquisition des licences UMTS.
Simon BUCKINGHAM, analyste télécom de Mobile Lifestream, surpris par les tarifs pratiqués par Vodafone, suppose que l'opérateur, fort de son poids à l'international, aura bénéficié d'un «appui» plus favorable auprès de Motorola que BT.
A l'occasion de la publication de ses résultats annuels pour l'exercice 2000-01, résultats «plombés» par de lourdes acquisitions, celle de l'Allemand Mannesmann en particulier, Vodafone annonçait qu'il avait l'intention de tout faire pour améliorer ses marges.
Vodafone Group prévoit de réaliser entre 20 et 25% de ses revenus par les flux de données (Internet, SMS, etc.) en 2004, contre 7% en mars dernier.
L'opérateur britannique Vodaphone Group Plc commercialise le Motorola Timeport 260 GPRS moitié moins cher que son concurrent British Telecom (BT Cellnet).
Vodafone propose le modèle Motorola Timeport 260 GPRS au tarif de 99,99 livres (1000 francs environ) pour un abonnement mensuel de 7,49 livres (moins de 80 francs.) Cette offre est disponible ce vendredi sur le marché britannique grand public.
De son côté, BT Cellnet vend depuis peu ce même appareil deux fois plus cher (199 livres), le tarif de l'abonnement reste légèrement plus cher (7,99 livres) que celui proposé par Vodafone.
La technologie GPRS (General packet radio service) autorise une connexion permanente à Internet avec des taux de transfert près de quatre fois supérieurs à ceux du GSM.
Sa commercialisation est considérée comme un test grandeur nature visant à évaluer la «solidité» de la demande en matière de haut débit, avant le lancement de la téléphonie mobile de troisième génération (3G).
En Europe, les opérateurs ont investi plus de 100 milliards d'euros dans l'acquisition des licences UMTS.
Simon BUCKINGHAM, analyste télécom de Mobile Lifestream, surpris par les tarifs pratiqués par Vodafone, suppose que l'opérateur, fort de son poids à l'international, aura bénéficié d'un «appui» plus favorable auprès de Motorola que BT.
A l'occasion de la publication de ses résultats annuels pour l'exercice 2000-01, résultats «plombés» par de lourdes acquisitions, celle de l'Allemand Mannesmann en particulier, Vodafone annonçait qu'il avait l'intention de tout faire pour améliorer ses marges.
Vodafone Group prévoit de réaliser entre 20 et 25% de ses revenus par les flux de données (Internet, SMS, etc.) en 2004, contre 7% en mars dernier.
