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Acquisitions et nouvelle politique de licence permettent à Oracle d'afficher une hausse de plus de 30% de son chiffre d'affaires trimestriel qui atteint 3.6 Md$
Larry Elisson conserve la bosse des affaires. Après avoir investi plus de 20 milliards de dollars pour acquérir des concurrents comme Siebel ou PeopleSoft, le groupe Oracle touche les fruits de sa politique d'expansion.
Acquisitions et nouvelle politique de licence permettent à Oracle d'afficher un chiffre d'affaires de 3.6 milliards de dollars ainsi qu'un bénéfice net de 670 millions de dollars ce trimestre, soit des hausses de 30 et 29%, légèrement supérieures aux prévisions des analystes, entraînant une hausse du cours de bourse de l'éditeur de plus de 12% en une seule séance.
Numéro un mondial des bases de données devant , Oracle semble ainsi réussir son pari de s'imposer dans l'univers du progiciel. Selon le cabinet d'étude AMR, la part de marché d'Oracle devrait passer de 20 à 23% cette année, partiellement aux dépends de qui pourrait reculer de 43 à 42%.
Larry Elisson conserve la bosse des affaires. Après avoir investi plus de 20 milliards de dollars pour acquérir des concurrents comme Siebel ou PeopleSoft, le groupe Oracle touche les fruits de sa politique d'expansion.
Acquisitions et nouvelle politique de licence permettent à Oracle d'afficher un chiffre d'affaires de 3.6 milliards de dollars ainsi qu'un bénéfice net de 670 millions de dollars ce trimestre, soit des hausses de 30 et 29%, légèrement supérieures aux prévisions des analystes, entraînant une hausse du cours de bourse de l'éditeur de plus de 12% en une seule séance.
Numéro un mondial des bases de données devant , Oracle semble ainsi réussir son pari de s'imposer dans l'univers du progiciel. Selon le cabinet d'étude AMR, la part de marché d'Oracle devrait passer de 20 à 23% cette année, partiellement aux dépends de qui pourrait reculer de 43 à 42%.