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Arnaud Lagardère a confirmé dimanche dans les colonnes du JDD vouloir unir les forces du groupe dans les médias pour négocier au mieux le virage Internet.
Si le Numérique ne vient pas à Lagardère, Lagardère ira au Numérique. Le président du groupe industriel Lagardère confirme vouloir unir les forces du groupe dans les médias afin de relever le défi du numérique
Dans un entretien publié le 17 septembre 2006 dans les colonnes du Journal du Dimanche, une des filiales du groupe, Arnaud Lagardère déclare que la presse traditionnelle "a peu d'avenir en l'état."
Le patron du groupe industriel français ajoute que "la presse quotidienne a dix ans devant elle. , les coûts de production deviendront intenables". Néanmoins, si le virage Internet doit être négocié, cela ne doit pas être à n'importe quel prix :
"Notre adaptation ne consistera pas à faire une transposition systématique et mécanique sur Internet de tous nos titres de presse [...] Notre plus restera la richesse des contenus [...] On ne va pas subir la mutation des modes de consommation, on va jouer au contraire une partie de cette évolution."
Arnaud Lagardère poursuit : "Chacun devra trouver sa voie, dépasser le cadre de sa mission traditionnelle", par exemple, à travers des alertes quotidiennes en ligne ou sur mobile y compris pour les hebdomadaires du groupe.
Concernant la nomination de Didier QUILLOT, ex-Pdg d'Orange France, à la tête d'une nouvelle entité regroupant le pôle presse Hachette Filipacchi Médias et le pôle audiovisuel Lagardère Active, Arnaud Lagardère a indiqué :
Cette nomination "vise à faire évoluer notre stratégie, pour renouer avec des perspectives de croissance. S'il y a des économies à faire, nous en ferons. Mais nous avons plus besoin d'accélérer que de freiner."
En France, trois groupes industriels s'imposent dans les médias nationaux et égratignent, au passage, la notion d'indépendance journalistique : Lagardère (JDD, Paris Match, Europe1, Le Monde à hauteur de 20%, CanalSat/TPS à 20%...) Bouygues (TF1, LCI...) et Dassault (Socpresse - Le Figaro).
Si le Numérique ne vient pas à Lagardère, Lagardère ira au Numérique. Le président du groupe industriel Lagardère confirme vouloir unir les forces du groupe dans les médias afin de relever le défi du numérique
Dans un entretien publié le 17 septembre 2006 dans les colonnes du Journal du Dimanche, une des filiales du groupe, Arnaud Lagardère déclare que la presse traditionnelle "a peu d'avenir en l'état."
Le patron du groupe industriel français ajoute que "la presse quotidienne a dix ans devant elle. , les coûts de production deviendront intenables". Néanmoins, si le virage Internet doit être négocié, cela ne doit pas être à n'importe quel prix :
"Notre adaptation ne consistera pas à faire une transposition systématique et mécanique sur Internet de tous nos titres de presse [...] Notre plus restera la richesse des contenus [...] On ne va pas subir la mutation des modes de consommation, on va jouer au contraire une partie de cette évolution."
Arnaud Lagardère poursuit : "Chacun devra trouver sa voie, dépasser le cadre de sa mission traditionnelle", par exemple, à travers des alertes quotidiennes en ligne ou sur mobile y compris pour les hebdomadaires du groupe.
Concernant la nomination de Didier QUILLOT, ex-Pdg d'Orange France, à la tête d'une nouvelle entité regroupant le pôle presse Hachette Filipacchi Médias et le pôle audiovisuel Lagardère Active, Arnaud Lagardère a indiqué :
Cette nomination "vise à faire évoluer notre stratégie, pour renouer avec des perspectives de croissance. S'il y a des économies à faire, nous en ferons. Mais nous avons plus besoin d'accélérer que de freiner."
En France, trois groupes industriels s'imposent dans les médias nationaux et égratignent, au passage, la notion d'indépendance journalistique : Lagardère (JDD, Paris Match, Europe1, Le Monde à hauteur de 20%, CanalSat/TPS à 20%...) Bouygues (TF1, LCI...) et Dassault (Socpresse - Le Figaro).