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Selon les statistiques dévoilées vendredi par l'Arcep, le taux de numéros mobiles inscrits dans les bases d'annuaires reste inférieur à 2%.
La mise en œuvre de l'annuaire universel reste problématique.
Rappelons que conformément au décret paru le 13 juin 2005, les opérateurs de téléphonie mobile et de téléphonie fixe actifs en France sont censés céder leurs listes aux éditeurs d'annuaires et aux fournisseurs de services de renseignements téléphoniques.
Parallèlement, les opérateurs sont dans l'obligation d'informer leurs clients de leurs droits, à savoir : "Faire paraître gratuitement dans les annuaires leurs numéros et leurs coordonnées ou en restreindre l'usage."
Si globalement, "la plupart des opérateurs ont cédé leurs listes d'abonnés à trois éditeurs au moins", les statistiques dévoilées vendredi 4 août 2006 par le régulateur (Arcep) témoignent du blocage du côté de la téléphonie mobile.
Le taux de numéros mobiles inscrits dans les bases d'annuaires est resté inférieur à 2% au 31 juillet 2006, par comparaison cette proportion était de 1,7% fin mai.
Compte tenu de son histoire et du contexte réglementaire dans laquelle elle évolue, la téléphonie fixe fait bien mieux avec un taux d'inscrits supérieur à 70%.
France Télécom fait le plein avec plus de 20 millions d'inscrits. Free compte plus de 500.000 inscrits, soit un taux de 50% à 100%, , en revanche, compte moins de 500.000 inscrits, soit un taux compris entre 20% et 50%.
En moyenne, le taux de numéros fixes pour lesquels l'abonné a refusé la publication dans les annuaires est de 10%. Alors que dans la téléphonie mobile, les abonnés ne souhaitent pas, dans leur majorité, autoriser la publication de leurs numéros.
Depuis le lancement des numéros du renseignement en 118.xyz, en novembre dernier, l'Arcep a relancé les opérateurs nationaux pour tenter d'assurer le succès de l'annuaire universel. A ce jour, seul un opérateur figurant dans le tableau de bord du régulateur "ne déclare aucune cession effective."
La mise en œuvre de l'annuaire universel reste problématique.
Rappelons que conformément au décret paru le 13 juin 2005, les opérateurs de téléphonie mobile et de téléphonie fixe actifs en France sont censés céder leurs listes aux éditeurs d'annuaires et aux fournisseurs de services de renseignements téléphoniques.
Parallèlement, les opérateurs sont dans l'obligation d'informer leurs clients de leurs droits, à savoir : "Faire paraître gratuitement dans les annuaires leurs numéros et leurs coordonnées ou en restreindre l'usage."
Si globalement, "la plupart des opérateurs ont cédé leurs listes d'abonnés à trois éditeurs au moins", les statistiques dévoilées vendredi 4 août 2006 par le régulateur (Arcep) témoignent du blocage du côté de la téléphonie mobile.
Le taux de numéros mobiles inscrits dans les bases d'annuaires est resté inférieur à 2% au 31 juillet 2006, par comparaison cette proportion était de 1,7% fin mai.
Compte tenu de son histoire et du contexte réglementaire dans laquelle elle évolue, la téléphonie fixe fait bien mieux avec un taux d'inscrits supérieur à 70%.
France Télécom fait le plein avec plus de 20 millions d'inscrits. Free compte plus de 500.000 inscrits, soit un taux de 50% à 100%, , en revanche, compte moins de 500.000 inscrits, soit un taux compris entre 20% et 50%.
En moyenne, le taux de numéros fixes pour lesquels l'abonné a refusé la publication dans les annuaires est de 10%. Alors que dans la téléphonie mobile, les abonnés ne souhaitent pas, dans leur majorité, autoriser la publication de leurs numéros.
Depuis le lancement des numéros du renseignement en 118.xyz, en novembre dernier, l'Arcep a relancé les opérateurs nationaux pour tenter d'assurer le succès de l'annuaire universel. A ce jour, seul un opérateur figurant dans le tableau de bord du régulateur "ne déclare aucune cession effective."
