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Dans un souci de compétitivité, le premier fabricant mondial de microprocesseurs s'apprête à supprimer 1000 emplois de managers à l'international.
Afin de mieux résister à la concurrence, Intel s'apprête à licencier 1000 managers.
"Cette étape est importante parce qu'elle adresse un problème majeur que nous avons relevé dans notre analyse d'efficacité : la prise de décision lente et inefficace résulte, en partie, de la présence de trop d'intermédiaires", a indiqué Paul Otellini, CEO d'Intel, dans un mémo transmis à ses collaborateurs américains jeudi dernier.
Chuck Mulloy, porte-parole du premier fabricant mondial de microprocesseurs, a confirmé la suppression prochaine de 1000 postes de cadres dirigeants à travers le monde dans le but de "réduire les coûts et d'améliorer la prise de décisions."
Intel n'a pas précisé les pays et les départements concernés. Néanmoins, Paul Otellini a insisté : "La concurrence s'intensifiera sur l'ensemble des produits de notre gamme. Nous devons nous renouveler tant que nous en avons le temps et les moyens, afin de rester le numéro 1."
Cette annonce fait suite à la vente, en juin dernier, de l'activité processeurs de communications, XScale, d'Intel à Marvell Technology Group.
Ces efforts de restructuration succèdent à deux années en demi-teinte pour Intel : sortie de produits retardée, perte de parts de marché face à AMD, l'éternel second qui lui aussi connaît des difficultés.
D'après Technology Business Review, Intel qui compte aujourd'hui 100.000 collaborateurs à travers le monde, pourrait annoncer de nouvelles mesures drastiques lors de la présentation de ses résultats, le 19 juin 2006.
Afin de mieux résister à la concurrence, Intel s'apprête à licencier 1000 managers.
"Cette étape est importante parce qu'elle adresse un problème majeur que nous avons relevé dans notre analyse d'efficacité : la prise de décision lente et inefficace résulte, en partie, de la présence de trop d'intermédiaires", a indiqué Paul Otellini, CEO d'Intel, dans un mémo transmis à ses collaborateurs américains jeudi dernier.
Chuck Mulloy, porte-parole du premier fabricant mondial de microprocesseurs, a confirmé la suppression prochaine de 1000 postes de cadres dirigeants à travers le monde dans le but de "réduire les coûts et d'améliorer la prise de décisions."
Intel n'a pas précisé les pays et les départements concernés. Néanmoins, Paul Otellini a insisté : "La concurrence s'intensifiera sur l'ensemble des produits de notre gamme. Nous devons nous renouveler tant que nous en avons le temps et les moyens, afin de rester le numéro 1."
Cette annonce fait suite à la vente, en juin dernier, de l'activité processeurs de communications, XScale, d'Intel à Marvell Technology Group.
Ces efforts de restructuration succèdent à deux années en demi-teinte pour Intel : sortie de produits retardée, perte de parts de marché face à AMD, l'éternel second qui lui aussi connaît des difficultés.
D'après Technology Business Review, Intel qui compte aujourd'hui 100.000 collaborateurs à travers le monde, pourrait annoncer de nouvelles mesures drastiques lors de la présentation de ses résultats, le 19 juin 2006.
