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D'après Les Echos, , Free et Deutsche Telekom auraient déposé lundi leurs "expressions d'intérêt" pour le rachat de l'activité Internet d'AOL France
Free et Neuf seraient intéressés par la reprise de l'activité 'accès Internet' d'AOL France.
Bien que ait démenti que sa filiale AOL Europe envisage la cession de ses activités en France et en Allemagne, des pourparlers seraient effectivement engagés.
Deux articles, l'un paru le 13 avril dernier dans les colonnes du Daily Telegraph, le second publié par le Guardian le 5 mai, ont semé le doute : Time Warner aurait fait appel à Citigroup pour réaliser l'audit de sa filiale européenne et négocier la vente des activités de fourniture d'accès Internet d'AOL dans ces deux pays.
Des analystes financiers estiment qu'AOL Europe peut être valorisée à 1 milliard d'euros, son activité en Allemagne à 450 millions d'euros, son activité en France à 250 millions d'euros.
Malgré le démenti du groupe multimédia américain Time Warner le mois dernier, la rumeur persiste. Selon "des sources industrielles" citées par Les Echos dans leur édition du 14 juin 2006, AOL Europe serait bien en voie de démantèlement.
Les opérateurs et fournisseurs d'accès Internet français Neuf Cegetel et Free, mais également l'opérateur historique allemand Deutsche Telekom auraient déposé lundi 12 juin leurs "expressions d'intérêt" pour la filiale française d'AOL Europe.
Le rachat d'AOL France permettrait au repreneur de compléter son portefeuille d'abonnés ADSL d'environ 500.000 clients supplémentaires.
Neuf, qui compte à ce jour plus de 1,2 million d'abonnés haut débit, aurait l'opportunité de devancer Free sur ce terrain. La filiale du groupe , de son côté, compte 1,6 million d'abonnés ADSL. Elle pourrait, à travers le rachat d'AOL France, se rapprocher du leader du marché français : Orange (4,9 M d'abonnés ADSL).
Free et Neuf seraient intéressés par la reprise de l'activité 'accès Internet' d'AOL France.
Bien que ait démenti que sa filiale AOL Europe envisage la cession de ses activités en France et en Allemagne, des pourparlers seraient effectivement engagés.
Deux articles, l'un paru le 13 avril dernier dans les colonnes du Daily Telegraph, le second publié par le Guardian le 5 mai, ont semé le doute : Time Warner aurait fait appel à Citigroup pour réaliser l'audit de sa filiale européenne et négocier la vente des activités de fourniture d'accès Internet d'AOL dans ces deux pays.
Des analystes financiers estiment qu'AOL Europe peut être valorisée à 1 milliard d'euros, son activité en Allemagne à 450 millions d'euros, son activité en France à 250 millions d'euros.
Malgré le démenti du groupe multimédia américain Time Warner le mois dernier, la rumeur persiste. Selon "des sources industrielles" citées par Les Echos dans leur édition du 14 juin 2006, AOL Europe serait bien en voie de démantèlement.
Les opérateurs et fournisseurs d'accès Internet français Neuf Cegetel et Free, mais également l'opérateur historique allemand Deutsche Telekom auraient déposé lundi 12 juin leurs "expressions d'intérêt" pour la filiale française d'AOL Europe.
Le rachat d'AOL France permettrait au repreneur de compléter son portefeuille d'abonnés ADSL d'environ 500.000 clients supplémentaires.
Neuf, qui compte à ce jour plus de 1,2 million d'abonnés haut débit, aurait l'opportunité de devancer Free sur ce terrain. La filiale du groupe , de son côté, compte 1,6 million d'abonnés ADSL. Elle pourrait, à travers le rachat d'AOL France, se rapprocher du leader du marché français : Orange (4,9 M d'abonnés ADSL).
