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En concurrence avec Oracle, a remporté l'appel d'offres "Chorus" pour la modernisation des systèmes de gestion informatisés de l'Etat français
L'allemand SAP a bel et bien remporté l'appel d'offres "Chorus" lancé par Bercy.
Le projet consiste à mettre l'administration française en conformité avec la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), et ce à travers la modernisation de ses systèmes de gestion informatisés.
Ce contrat de 'secteur public' estimé à 40 millions d'euros a été très disputé. Deux jours après que le marché ait été attribué à SAP une première fois, le 6 mars dernier, le groupe américain Oracle a déposé un recours en référé.
Principal concurrent de SAP, premier éditeur de progiciels intégrés de gestion au niveau mondial, Oracle contestait le choix du ministère français de l'économie pour des questions de procédure.
La notification officielle du vainqueur a donc été suspendue jusqu'à ce vendredi 31 mars 2006, date à laquelle SAP a annoncé avoir signé le contrat portant sur la fourniture du progiciel de gestion financière commun à l'ensemble des ministères.
Par ailleurs, l'éditeur affirme que cette signature intervient "à l'issue d'un processus de sélection qui a permis à l'Etat français d'évaluer sereinement les solutions présentées par SAP et par Oracle." Ce dernier fait grise mine...
Il faut dire que le précédent contrat de modernisation logicielle signé par le MINEFI avait été remporté par PeopleSoft une des sociétés, avec Retek et Siebel, dont Oracle a fait l'acquisition à grands frais ces deux dernières années.
La messe est dite : Le futur système d'information financière, budgétaire et comptable de l'Etat sera basé sur la plate-forme SAP NetWeaver et sur les progiciels SAP. Il remplacera la totalité des applications existantes.
Une autre sélection déterminera la société qui sera chargée d'intégrer le nouvel ERP. On pense à Accenture, , aux français et Sopra. Les solutions SAP seront déployées en 2009 auprès de 25.000 utilisateurs.
L'allemand SAP a bel et bien remporté l'appel d'offres "Chorus" lancé par Bercy.
Le projet consiste à mettre l'administration française en conformité avec la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), et ce à travers la modernisation de ses systèmes de gestion informatisés.
Ce contrat de 'secteur public' estimé à 40 millions d'euros a été très disputé. Deux jours après que le marché ait été attribué à SAP une première fois, le 6 mars dernier, le groupe américain Oracle a déposé un recours en référé.
Principal concurrent de SAP, premier éditeur de progiciels intégrés de gestion au niveau mondial, Oracle contestait le choix du ministère français de l'économie pour des questions de procédure.
La notification officielle du vainqueur a donc été suspendue jusqu'à ce vendredi 31 mars 2006, date à laquelle SAP a annoncé avoir signé le contrat portant sur la fourniture du progiciel de gestion financière commun à l'ensemble des ministères.
Par ailleurs, l'éditeur affirme que cette signature intervient "à l'issue d'un processus de sélection qui a permis à l'Etat français d'évaluer sereinement les solutions présentées par SAP et par Oracle." Ce dernier fait grise mine...
Il faut dire que le précédent contrat de modernisation logicielle signé par le MINEFI avait été remporté par PeopleSoft une des sociétés, avec Retek et Siebel, dont Oracle a fait l'acquisition à grands frais ces deux dernières années.
La messe est dite : Le futur système d'information financière, budgétaire et comptable de l'Etat sera basé sur la plate-forme SAP NetWeaver et sur les progiciels SAP. Il remplacera la totalité des applications existantes.
Une autre sélection déterminera la société qui sera chargée d'intégrer le nouvel ERP. On pense à Accenture, , aux français et Sopra. Les solutions SAP seront déployées en 2009 auprès de 25.000 utilisateurs.
