0
Après plusieurs semaines de débat houleux sur le projet de loi DADVSI, Virgin fait quatre propositions pour développer le marché de la musique, en et hors ligne
Deuxième disquaire de France et pionnier français de la musique en ligne, Virgin profite de la fin des débats parlementaires sur le projet de loi sur les droits d'auteur et les droits voisins dans la société de l'information (DADVSI) pour faire des propositions pour relancer le marché de la musique, dans les magasins traditionnels ou sur le web.
Depuis 2001, le disquaire a en effet vu ses ventes de disque reculer de 135 M€ à 101 M€, l'obligeant à se repositionner sur d'autres biens culturels comme le livre, le DVD ou le jeu vidéo pour compenser l'effondrement de ce marché.
"Nous sommes convaincus que les impacts de la dématérialisation n'ont pas fini de se faire sentir mais nos magasins continueront d'exister et les produits physiques et numériques coexisteront." explique Jean-Noël Reinhardt, Président de Virgin Megastore, qui a donc décidé de faire quatre propositions pour relancer ce marché.
Le groupe confirme tout d'abord son soutien au projet de loi DADVSI, qui "offre un cadre juridique qui protège les artistes". Jean-Noël Reinhardt propose également une baisse des prix des CD, qu'il propose à 10 euros, afin que ces derniers redeviennent moins chers que les DVD, dont le prix moyen se situe désormais à 12 euros.
La troisième proposition concerne les dispositifs de protection des contenus DPC (DRM) dont Virgin souhaite l'interopérabilité. Après un premier bras de fer juridique perdu contre , Virgin devrait à nouveau demander au groupe américain la possibilité de proposer des titres en téléchargement avec la technologie FAIRplay. Enfin, suite à l'exclusivité proposée par Warner à sur le dernier album de Madonna, Virgin propose l'accès simultané de tous les distributeurs à tous les catalogues...
Tout en anticipant une baisse de 20% du marché de la musique d'ici 2010, Virgin espère que ces propositions permettront de relancer le marché, en particulier sur le web qui pourrait alors peser 150 millions d'euros sur un total de 900 millions d'euros avec une part de marché attendue de 20% pour VirginMega, site de téléchargement du groupe.
Deuxième disquaire de France et pionnier français de la musique en ligne, Virgin profite de la fin des débats parlementaires sur le projet de loi sur les droits d'auteur et les droits voisins dans la société de l'information (DADVSI) pour faire des propositions pour relancer le marché de la musique, dans les magasins traditionnels ou sur le web.
Depuis 2001, le disquaire a en effet vu ses ventes de disque reculer de 135 M€ à 101 M€, l'obligeant à se repositionner sur d'autres biens culturels comme le livre, le DVD ou le jeu vidéo pour compenser l'effondrement de ce marché.
"Nous sommes convaincus que les impacts de la dématérialisation n'ont pas fini de se faire sentir mais nos magasins continueront d'exister et les produits physiques et numériques coexisteront." explique Jean-Noël Reinhardt, Président de Virgin Megastore, qui a donc décidé de faire quatre propositions pour relancer ce marché.
Le groupe confirme tout d'abord son soutien au projet de loi DADVSI, qui "offre un cadre juridique qui protège les artistes". Jean-Noël Reinhardt propose également une baisse des prix des CD, qu'il propose à 10 euros, afin que ces derniers redeviennent moins chers que les DVD, dont le prix moyen se situe désormais à 12 euros.
La troisième proposition concerne les dispositifs de protection des contenus DPC (DRM) dont Virgin souhaite l'interopérabilité. Après un premier bras de fer juridique perdu contre , Virgin devrait à nouveau demander au groupe américain la possibilité de proposer des titres en téléchargement avec la technologie FAIRplay. Enfin, suite à l'exclusivité proposée par Warner à sur le dernier album de Madonna, Virgin propose l'accès simultané de tous les distributeurs à tous les catalogues...
Tout en anticipant une baisse de 20% du marché de la musique d'ici 2010, Virgin espère que ces propositions permettront de relancer le marché, en particulier sur le web qui pourrait alors peser 150 millions d'euros sur un total de 900 millions d'euros avec une part de marché attendue de 20% pour VirginMega, site de téléchargement du groupe.