0
D'ici 2010 au moins 6 millions de documents numérisés seront accessibles en ligne sur le portail de la Bibliothèque numérique européenne, a indiqué Bruxelles.
L'exécutif européen précise le projet de Bibliothèque numérique européenne (BNE).
Ce projet influencé par la présentation fin 2004 du programme étatsunien Google Books Library Project a été initié par la France et ses partenaires afin de donner au patrimoine européen la visibilité qu'il mérite sur Internet.
Que l'on ne s'y trompe pas, le projet BNE est différent de celui d'une jeune société américaine dont l'ambition est de rendre accessibles en ligne les contenus licites proposés à travers le monde, et d'en tirer bénéfice via publicité et partenariats.
En Europe, le projet bénéficiera du soutien financier des Etats membres de l'UE et de la Commission européenne, soutien complété par des partenariats public-privé, techniques, juridiques et financiers.
Jeudi 2 mars 2006, la commissaire en charge de la société de l'information et des médias, Viviane Reding, a indiqué que la Commission n'entend pas réaliser une base de données unique, autrement dit une seule BNE centralisée.
En revanche, "l'utilisateur pourra effectuer des recherches dans différentes collections des institutions culturelles à partir d'un seul point d'accès multilingue, qui prendra la forme d'un portail Internet (TEL)".
Par conséquent, il reviendra "aux bibliothèques numériques européennes" de numériser et/ou de rendre accessibles en ligne des livres, des archives, mais aussi du matériel audiovisuel et photographique.
La collaboration à l'échelle de l'UE entre bibliothèques nationales est engagée. En 2008, un accès multilingue aux collections numérisées de ces bibliothèques à partir du portail TEL devrait être ouvert (plus de 2 millions d'ouvrages et documents numérisés seront accessibles.)
Enfin en 2010, la BNE proposera un accès à un minimum de 6 millions d'ouvrages.
L'exécutif européen précise le projet de Bibliothèque numérique européenne (BNE).
Ce projet influencé par la présentation fin 2004 du programme étatsunien Google Books Library Project a été initié par la France et ses partenaires afin de donner au patrimoine européen la visibilité qu'il mérite sur Internet.
Que l'on ne s'y trompe pas, le projet BNE est différent de celui d'une jeune société américaine dont l'ambition est de rendre accessibles en ligne les contenus licites proposés à travers le monde, et d'en tirer bénéfice via publicité et partenariats.
En Europe, le projet bénéficiera du soutien financier des Etats membres de l'UE et de la Commission européenne, soutien complété par des partenariats public-privé, techniques, juridiques et financiers.
Jeudi 2 mars 2006, la commissaire en charge de la société de l'information et des médias, Viviane Reding, a indiqué que la Commission n'entend pas réaliser une base de données unique, autrement dit une seule BNE centralisée.
En revanche, "l'utilisateur pourra effectuer des recherches dans différentes collections des institutions culturelles à partir d'un seul point d'accès multilingue, qui prendra la forme d'un portail Internet (TEL)".
Par conséquent, il reviendra "aux bibliothèques numériques européennes" de numériser et/ou de rendre accessibles en ligne des livres, des archives, mais aussi du matériel audiovisuel et photographique.
La collaboration à l'échelle de l'UE entre bibliothèques nationales est engagée. En 2008, un accès multilingue aux collections numérisées de ces bibliothèques à partir du portail TEL devrait être ouvert (plus de 2 millions d'ouvrages et documents numérisés seront accessibles.)
Enfin en 2010, la BNE proposera un accès à un minimum de 6 millions d'ouvrages.
