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La société 118.218 le Numéro accuse l'opérateur historique de pratiques discriminatoires dans le domaine des renseignements téléphoniques.
Considérant "discriminatoires" certaines pratiques de France Télécom, la société parisienne 118.218 le Numéro a saisi le Conseil de la concurrence.
Nouvel acteur des renseignements téléphoniques français, le Numéro reproche à l'opérateur historique de fournir des bases de données incomplètes aux concurrents de ses services (Pages Jaunes...) et, par conséquent, de limiter leur champ d'action.
"Cette discrimination pénalise les nouveaux acteurs dans leurs réponses aux demandes des consommateurs, que ce soit pour obtenir les numéros de certains services commerciaux ou administratifs, voire des numéros de particuliers", a indiqué le prestataire (lenumero.fr).
Selon son directeur général, Bruno Massiet du Biest, la société 118.218 le Numéro est forcée de collecter et d'acheter les informations manquantes pour rester compétitive.
Or, conformément aux vœux de l'Arcep, les opérateurs sont dans l'obligation de transmettre les données concernant leurs abonnés à tous les fournisseurs de services de renseignements et autres éditeurs d'annuaires qui en font la demande et, d'autre part, d'informer leurs clients de leurs droits.
Afin d'établir une concurrence loyale sur ce marché, le Numéro souhaite que le Conseil (conseil-concurrence.fr) impose la mise à niveau de la base que l'opérateur historique destine aux nouveaux acteurs du renseignement téléphonique.
Le groupe France Télécom estime, pour sa part, que seule l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (arcep.fr) peut trancher.
Considérant "discriminatoires" certaines pratiques de France Télécom, la société parisienne 118.218 le Numéro a saisi le Conseil de la concurrence.
Nouvel acteur des renseignements téléphoniques français, le Numéro reproche à l'opérateur historique de fournir des bases de données incomplètes aux concurrents de ses services (Pages Jaunes...) et, par conséquent, de limiter leur champ d'action.
"Cette discrimination pénalise les nouveaux acteurs dans leurs réponses aux demandes des consommateurs, que ce soit pour obtenir les numéros de certains services commerciaux ou administratifs, voire des numéros de particuliers", a indiqué le prestataire (lenumero.fr).
Selon son directeur général, Bruno Massiet du Biest, la société 118.218 le Numéro est forcée de collecter et d'acheter les informations manquantes pour rester compétitive.
Or, conformément aux vœux de l'Arcep, les opérateurs sont dans l'obligation de transmettre les données concernant leurs abonnés à tous les fournisseurs de services de renseignements et autres éditeurs d'annuaires qui en font la demande et, d'autre part, d'informer leurs clients de leurs droits.
Afin d'établir une concurrence loyale sur ce marché, le Numéro souhaite que le Conseil (conseil-concurrence.fr) impose la mise à niveau de la base que l'opérateur historique destine aux nouveaux acteurs du renseignement téléphonique.
Le groupe France Télécom estime, pour sa part, que seule l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (arcep.fr) peut trancher.
