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La demande étant plus forte que l'offre, une sélection départagera les 45 acteurs qui ont déposé une demande de licence WiMax auprès du régulateur français.
La sélection pour obtenir une licence WiMax va être rude !
Dans le cadre de l'appel à candidatures lancé l'été dernier, 45 acteurs ont déposé auprès de l'Autorité française de régulation (arcep.fr) une demande d'autorisation pour utiliser des fréquences de boucle locale radio dans la bande 3,4-3,6 GHz.
Norme (802.16) d'accès sans fil à l'Internet permettant d'atteindre des débits théoriques de 70 Mb/s sur 50 km, le WiMax peut compléter d'autres standards d'accès nomades (WiFi, UMTS) et représente une alternative à l'Internet filaire (xDSL).
Nombreuses sont les entités intéressées par cette technologie d'avenir. L'Arcep souligne que 8 "sociétés" ont déposé des demandes sur plus de 18 régions, 5 sur plus de 5 régions, 18 "acteurs" sur une seule région, 4 acteurs sur une zone infra-régionale et 10 acteurs sur la Guyane, Mayotte et Saint-Pierre et Miquelon.
Opérateurs (France Télécom, Neuf Telecom, SFR...) collectivités (Collectivité territoriale de Corse, Conseil général des Pyrénées-Atlantiques, Conseil régional de Lorraine, etc.), prestataires (Comium services Ltd, Clearwire France SAS...) et associations (Awisa...) comptent parmi ces acteurs.
Résultat, à l'exception de Saint-Pierre et Miquelon, la rareté des fréquences est constatée pour les 22 régions métropolitaines, la Guyane et Mayotte ! Par conséquent, une sélection est engagée entre acteurs qui auront déposé leurs dossiers avant le 1er février 2006, 12h, au siège de l'Arcep à Paris.
Cette ultime étape permettra d'ouvrir le marché du WiMax en France. Pour mémoire, seules deux licences par région seront attribuées.
La sélection pour obtenir une licence WiMax va être rude !
Dans le cadre de l'appel à candidatures lancé l'été dernier, 45 acteurs ont déposé auprès de l'Autorité française de régulation (arcep.fr) une demande d'autorisation pour utiliser des fréquences de boucle locale radio dans la bande 3,4-3,6 GHz.
Norme (802.16) d'accès sans fil à l'Internet permettant d'atteindre des débits théoriques de 70 Mb/s sur 50 km, le WiMax peut compléter d'autres standards d'accès nomades (WiFi, UMTS) et représente une alternative à l'Internet filaire (xDSL).
Nombreuses sont les entités intéressées par cette technologie d'avenir. L'Arcep souligne que 8 "sociétés" ont déposé des demandes sur plus de 18 régions, 5 sur plus de 5 régions, 18 "acteurs" sur une seule région, 4 acteurs sur une zone infra-régionale et 10 acteurs sur la Guyane, Mayotte et Saint-Pierre et Miquelon.
Opérateurs (France Télécom, Neuf Telecom, SFR...) collectivités (Collectivité territoriale de Corse, Conseil général des Pyrénées-Atlantiques, Conseil régional de Lorraine, etc.), prestataires (Comium services Ltd, Clearwire France SAS...) et associations (Awisa...) comptent parmi ces acteurs.
Résultat, à l'exception de Saint-Pierre et Miquelon, la rareté des fréquences est constatée pour les 22 régions métropolitaines, la Guyane et Mayotte ! Par conséquent, une sélection est engagée entre acteurs qui auront déposé leurs dossiers avant le 1er février 2006, 12h, au siège de l'Arcep à Paris.
Cette ultime étape permettra d'ouvrir le marché du WiMax en France. Pour mémoire, seules deux licences par région seront attribuées.
