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Le prestigieux fonds de capital risque Sequoïa vient d'investir 3.5 millions de dollars dans YouTube, un site web déclinant le concept de Flickr à la vidéo
Quelques semaines après le levée de fonds de Podshow, spécialiste du podcasting, c'est au tour de YouTube, présenté comme le "Flickr de la vidéo", de procéder à une levée de fonds de 3.5 millions de dollars auprès du prestigieux fonds Sequoïa Capital, également à l'origine de sociétés comme , ou Google.
Tout comme Flickr avec les photographies numériques, le concept de YouTube est d'attirer sur sa plate-forme un contenu auto produit par les internautes puis de le monétiser, avec de la publicité ou avec des services premium.
Cette levée de fonds devrait également permettre à You Tube de gagner en visibilité auprès des internautes et peut-être auprès des grands portails toujours à la recherche de nouvelles acquisitions (Yahoo a justement racheté Flickr).
Face à YouTube, le secteur est néanmoins déjà passablement encombré avec la concurrence des américains Grooper, CastPost, CliackShack, des français Pooxi et DailyMotion sans oublier des poids lourds de l'internet comme Google, dont la plate-forme Google Video pourrait également permettre la vente directe. Pure player ou généralistes, la concurrence est ouverte.
Quelques semaines après le levée de fonds de Podshow, spécialiste du podcasting, c'est au tour de YouTube, présenté comme le "Flickr de la vidéo", de procéder à une levée de fonds de 3.5 millions de dollars auprès du prestigieux fonds Sequoïa Capital, également à l'origine de sociétés comme , ou Google.
Tout comme Flickr avec les photographies numériques, le concept de YouTube est d'attirer sur sa plate-forme un contenu auto produit par les internautes puis de le monétiser, avec de la publicité ou avec des services premium.
Cette levée de fonds devrait également permettre à You Tube de gagner en visibilité auprès des internautes et peut-être auprès des grands portails toujours à la recherche de nouvelles acquisitions (Yahoo a justement racheté Flickr).
Face à YouTube, le secteur est néanmoins déjà passablement encombré avec la concurrence des américains Grooper, CastPost, CliackShack, des français Pooxi et DailyMotion sans oublier des poids lourds de l'internet comme Google, dont la plate-forme Google Video pourrait également permettre la vente directe. Pure player ou généralistes, la concurrence est ouverte.
