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Constatant que les décisions prises à Washington, D.C. affectent de plus en plus Google et ses utilisateurs, le moteur y a ouvert un bureau. Un vrai lobby ?
Google, 'La' référence des technologies de recherche sur le web, a ouvert un pôle à Washington, D.C. afin de "défendre l'Internet en tant que plate-forme d'information, de communication et d'innovation ouverte et libre".
Entre technologies, économie et politique, "s'impliquer, participer au débat sur la régulation est important", souligne Andrew McLaughlin, avocat conseil chez Google Inc., dans un billet publié jeudi 6 octobre 2005 sur le blog du moteur (googleblog.blogspot.com).
Le pôle 'juridique' installé à Washington, D.C. travaille sur des sujets tels que : la neutralité, le copyright et la responsabilité des prestataires.
Incontournable en matière d'accès à l'information, Google croit au caractère "protecteur" du copyright tout en soutenant une utilisation "forte, juste et viable" de la Toile à l'ère numérique.
Le moteur se félicite notamment que l'agence fédérale chargée du copyright facilite l'utilisation des œuvres pour lesquelles les ayants droit sont introuvables, et réaffirme "respecter les créateurs".
Quant à la responsabilité des intermédiaires, elle se pose directement pour le moteur de recherche américain qui scrute Internet et recueille des informations partout où il est possible d'en trouver.
Pour conclure, Google rappelle qu'Internet ne peut fonctionner si les intermédiaires, les prestataires techniques (FAI, hébergeurs), sont tenus pour responsables des contenus créés par d'autres et rendus accessibles par le moteur lui-même.
Outre ces thématiques sensibles, le 'groupe de pression' (lobby) Google s'intéresse également à la confidentialité des données, aux logiciels espions, à la réforme de la loi américaine sur les brevets. Tout un programme !
Google, 'La' référence des technologies de recherche sur le web, a ouvert un pôle à Washington, D.C. afin de "défendre l'Internet en tant que plate-forme d'information, de communication et d'innovation ouverte et libre".
Entre technologies, économie et politique, "s'impliquer, participer au débat sur la régulation est important", souligne Andrew McLaughlin, avocat conseil chez Google Inc., dans un billet publié jeudi 6 octobre 2005 sur le blog du moteur (googleblog.blogspot.com).
Le pôle 'juridique' installé à Washington, D.C. travaille sur des sujets tels que : la neutralité, le copyright et la responsabilité des prestataires.
Incontournable en matière d'accès à l'information, Google croit au caractère "protecteur" du copyright tout en soutenant une utilisation "forte, juste et viable" de la Toile à l'ère numérique.
Le moteur se félicite notamment que l'agence fédérale chargée du copyright facilite l'utilisation des œuvres pour lesquelles les ayants droit sont introuvables, et réaffirme "respecter les créateurs".
Quant à la responsabilité des intermédiaires, elle se pose directement pour le moteur de recherche américain qui scrute Internet et recueille des informations partout où il est possible d'en trouver.
Pour conclure, Google rappelle qu'Internet ne peut fonctionner si les intermédiaires, les prestataires techniques (FAI, hébergeurs), sont tenus pour responsables des contenus créés par d'autres et rendus accessibles par le moteur lui-même.
Outre ces thématiques sensibles, le 'groupe de pression' (lobby) Google s'intéresse également à la confidentialité des données, aux logiciels espions, à la réforme de la loi américaine sur les brevets. Tout un programme !
