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Engagée en 2004, la couverture en bornes d'accès sans fil à l'Internet haut débit serait effective sur 50 des principales gares françaises.
Le WiFi rendra-t-il le sourire aux usagers de la SNCF ? 50 gares françaises seraient désormais équipées, soit un potentiel de 600 millions de visiteurs par an.
La cible est-elle satisfaite, le service sera-t-il rentable ? Une chose est sûre cette technologie d'accès sans fil à l'Internet haut débit (norme de type 802.11) est la plus utilisée par les jeunes cadres nomades armés de "laptops" et autres assistants numériques compatibles.
Le WiFi est par excellence la norme d'accès sans fil du "hotspot" ou lieu de passage du public : gares, aéroports, centres d'affaires, hôtels, bibliothèques universitaires, Mac Do, Starbucks (aux Etats-Unis surtout pour ces trois derniers).
A domicile, les usagers ont la possibilité d'associer une connexion haut débit ADSL au WiFi, pour clavarder du salon à la chambre. Ceci dit, le public visé par les opérateurs et prestataires de services est avant tout une clientèle d'affaires ou affairée, nomade, prête à payer le prix fort pour se connecter ici ou là.
C'est bien elle que la Société nationale des chemins de fer français et ses partenaires cherchent à séduire en gare, du hall au salon "grand voyageur", de l'espace de restauration aux quais.
Pour peu que le voyageur, portable en bandoulière, prenne le Thalys entre Paris et Bruxelles il peut bénéficier d'une connexion WiFi à haut débit et en continu sur l'ensemble du trajet (ThalysNet).
Les gares SNCF équipées (Aix-en-Provence, Bordeaux, Lille, Lyon, Paris, Rennes, Valenciennes, Strasbourg, Rouen...) ont adopté une même signalétique 'WiFi' autorisée par France Hotspots, association créée par la SNCF, l'ADP et Total.
Un portail d'infos pratiques et d'accès Internet aux conditions des opérateurs partenaires (Cegetel/SFR en particulier), est proposé sur les zones concernées.
En cas de grève, une spécialité bien française, il sera toujours possible de commander une pizza sur le Net dans l'attente du prochain départ...
Le WiFi rendra-t-il le sourire aux usagers de la SNCF ? 50 gares françaises seraient désormais équipées, soit un potentiel de 600 millions de visiteurs par an.
La cible est-elle satisfaite, le service sera-t-il rentable ? Une chose est sûre cette technologie d'accès sans fil à l'Internet haut débit (norme de type 802.11) est la plus utilisée par les jeunes cadres nomades armés de "laptops" et autres assistants numériques compatibles.
Le WiFi est par excellence la norme d'accès sans fil du "hotspot" ou lieu de passage du public : gares, aéroports, centres d'affaires, hôtels, bibliothèques universitaires, Mac Do, Starbucks (aux Etats-Unis surtout pour ces trois derniers).
A domicile, les usagers ont la possibilité d'associer une connexion haut débit ADSL au WiFi, pour clavarder du salon à la chambre. Ceci dit, le public visé par les opérateurs et prestataires de services est avant tout une clientèle d'affaires ou affairée, nomade, prête à payer le prix fort pour se connecter ici ou là.
C'est bien elle que la Société nationale des chemins de fer français et ses partenaires cherchent à séduire en gare, du hall au salon "grand voyageur", de l'espace de restauration aux quais.
Pour peu que le voyageur, portable en bandoulière, prenne le Thalys entre Paris et Bruxelles il peut bénéficier d'une connexion WiFi à haut débit et en continu sur l'ensemble du trajet (ThalysNet).
Les gares SNCF équipées (Aix-en-Provence, Bordeaux, Lille, Lyon, Paris, Rennes, Valenciennes, Strasbourg, Rouen...) ont adopté une même signalétique 'WiFi' autorisée par France Hotspots, association créée par la SNCF, l'ADP et Total.
Un portail d'infos pratiques et d'accès Internet aux conditions des opérateurs partenaires (Cegetel/SFR en particulier), est proposé sur les zones concernées.
En cas de grève, une spécialité bien française, il sera toujours possible de commander une pizza sur le Net dans l'attente du prochain départ...
