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Après 4 ans de négociations pour devenir opérateur mobile virtuel, Tele2 France décide d'engager une procédure de règlement de différend avec Orange.
La filiale française du groupe scandinave Tele2 a confirmé le 15 mars 2005 avoir engagé une procédure de règlement de différend à l'encontre d'Orange, auprès de l'ART.
Alors que d'autres prestataires (Debitel, The Phone House, M6, NRJ, etc.) commercialisent d'ores et déjà des services mobiles, Tele2 ne parvient pas à entrer sur le marché français des opérateurs mobiles virtuels (MVNO).
Rappelons qu'un MVNO ne dispose pas de réseau mobile, mais achète en volume des minutes et des données à un opérateur mobile classique (Orange, SFR ou BouygTel en France) pour pouvoir commercialiser des services mobiles sous sa propre marque.
Conformément à la stratégie adoptée par sa maison mère, Tele2 France a déclaré à de nombreuses reprises souhaiter compléter son offre "fixe et Internet" de services de téléphonie mobile d'envergure nationale, si possible dès le printemps 2005.
Or les négociations engagées avec SFR (Cegetel) et avec Orange (France Télécom) semblent dans l'impasse. "Ce qui nous est proposé, c'est soit rien, soit des positions qui ne sont pas du tout dans le cadre réglementaire", avait signalé Tele2 à Reuters le mois dernier.
"Après 4 ans d'efforts", Tele2 France a donc décidé de faire appel à l'Autorité de régulation des télécoms (www.art-telecom.fr) "pour conduire Orange à lui vendre des minutes en gros".
Tele2 France précise dans un communiqué souhaiter "bénéficier du contrat standard MVNO d'Orange, par exemple celui qui a été utilisé pour Breizh Mobile, complété de remises liées au volume".
Il revient désormais au régulateur français des télécoms d'assurer une médiation positive entre les parties, Tele2 d'un côté, Orange de l'autre.
La filiale française du groupe scandinave Tele2 a confirmé le 15 mars 2005 avoir engagé une procédure de règlement de différend à l'encontre d'Orange, auprès de l'ART.
Alors que d'autres prestataires (Debitel, The Phone House, M6, NRJ, etc.) commercialisent d'ores et déjà des services mobiles, Tele2 ne parvient pas à entrer sur le marché français des opérateurs mobiles virtuels (MVNO).
Rappelons qu'un MVNO ne dispose pas de réseau mobile, mais achète en volume des minutes et des données à un opérateur mobile classique (Orange, SFR ou BouygTel en France) pour pouvoir commercialiser des services mobiles sous sa propre marque.
Conformément à la stratégie adoptée par sa maison mère, Tele2 France a déclaré à de nombreuses reprises souhaiter compléter son offre "fixe et Internet" de services de téléphonie mobile d'envergure nationale, si possible dès le printemps 2005.
Or les négociations engagées avec SFR (Cegetel) et avec Orange (France Télécom) semblent dans l'impasse. "Ce qui nous est proposé, c'est soit rien, soit des positions qui ne sont pas du tout dans le cadre réglementaire", avait signalé Tele2 à Reuters le mois dernier.
"Après 4 ans d'efforts", Tele2 France a donc décidé de faire appel à l'Autorité de régulation des télécoms (www.art-telecom.fr) "pour conduire Orange à lui vendre des minutes en gros".
Tele2 France précise dans un communiqué souhaiter "bénéficier du contrat standard MVNO d'Orange, par exemple celui qui a été utilisé pour Breizh Mobile, complété de remises liées au volume".
Il revient désormais au régulateur français des télécoms d'assurer une médiation positive entre les parties, Tele2 d'un côté, Orange de l'autre.
