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Selon Les Echos, le gouvernement français va soutenir les jeunes pousses technologiques à travers un dispositif de plus de 200 millions d'euros.
Selon Les Echos, le gouvernement français va soutenir les jeunes pousses technologiques à travers un dispositif de plus de 200 millions d'euros.
Article
A travers un dispositif de financement de plus de 200 millions d'euros, le gouvernement français relève ses manches pour soutenir les jeunes pousses technologiques dont les projets sont jugés "stratégiques pour l'industrie".
Les Echos soulignent dans leur édition du 11 mars 2005 que ce projet est coordonné par Alain JUILLET, haut responsable de l'intelligence économique auprès du Secrétaire général de la défense nationale (SGDN), secrétariat interministériel.
Conforme aux directives européennes, le dispositif en question est basé sur un partenariat public/ privé: le public pour l'expertise technologique, le privé pour le financement.
Cinq fonds sectoriels devraient être soutenus par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), EADS (European Defence & Space Company), la SNECMA et Thales...
L'objectif est de permettre aux jeunes sociétés technologiques de se développer sur le territoire nationale et au-delà.
D'après La Tribune, les dossiers des jeunes pousses seront étudiés par un comité composé des représentants de quatre ministères, présidé par Alain JUILLET. Une quarantaine de dossiers par an pourraient être pris en charge.
Ce dispositif s'intègre dans la stratégie de soutien à l'innovation engagée par le gouvernement français.
Selon Les Echos, le gouvernement français va soutenir les jeunes pousses technologiques à travers un dispositif de plus de 200 millions d'euros.
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A travers un dispositif de financement de plus de 200 millions d'euros, le gouvernement français relève ses manches pour soutenir les jeunes pousses technologiques dont les projets sont jugés "stratégiques pour l'industrie".
Les Echos soulignent dans leur édition du 11 mars 2005 que ce projet est coordonné par Alain JUILLET, haut responsable de l'intelligence économique auprès du Secrétaire général de la défense nationale (SGDN), secrétariat interministériel.
Conforme aux directives européennes, le dispositif en question est basé sur un partenariat public/ privé: le public pour l'expertise technologique, le privé pour le financement.
Cinq fonds sectoriels devraient être soutenus par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), EADS (European Defence & Space Company), la SNECMA et Thales...
L'objectif est de permettre aux jeunes sociétés technologiques de se développer sur le territoire nationale et au-delà.
D'après La Tribune, les dossiers des jeunes pousses seront étudiés par un comité composé des représentants de quatre ministères, présidé par Alain JUILLET. Une quarantaine de dossiers par an pourraient être pris en charge.
Ce dispositif s'intègre dans la stratégie de soutien à l'innovation engagée par le gouvernement français.
