0
François Loos, envoyé spécial du gouvernement français au Japon, a trois journées pour convaincre les pôles scientifiques de l'infiniment petit !
Représentant les intérêts français au salon Nano Tech des 23, 24 et 25 février 2005 à Tokyo, le ministre François LOOS tente de négocier un rapprochement entre pôles scientifiques franco-japonais dédiés aux nanotechnologies.
Le "nanomonde" est celui de l'infiniment petit, nano signifiant "un milliardième". Il regroupe trois secteurs clés : la nanoélectronique, la nanobiotechnologie qui combine ingénierie nanométrique et biologie, et les nanomatériaux.
Selon la Commission européenne "le marché mondial actuel de ces produits est évalué à 2,5 milliards d'euros", et pourrait atteindre "plusieurs centaines de milliards d'euros d'ici 2010".
Consciente de l'enjeu, la France a choisi d'organiser la première édition des rencontres franco-japonaises des pôles d'excellence dans le cadre du salon Nano Tech 2005 (www.ics-inc.co.jp).
A cette occasion, François LOOS, ministre français délégué au commerce extérieur, a rappelé que "l'innovation, clef de la croissance future, doit être permanente" et qu'une étroite collaboration est nécessaire pour rester "au premier rang".
Pour mémoire, les pôles de compétitivité sont des espaces géographiques limités où se regroupent entreprises, laboratoires et organismes de formation "autour de projets coopératifs innovants avec le soutien des collectivités".
Le ministre a invité les entrepreneurs et chercheurs japonais à découvrir la vingtaine d'entreprises françaises et les quatre pôles régionaux représentés lors de cette 4ème édition du Nano Tech.
350 organismes et entreprises exposent et près de 30.000 visiteurs sont attendus au salon international Nano Tech 2005. Saké !
Représentant les intérêts français au salon Nano Tech des 23, 24 et 25 février 2005 à Tokyo, le ministre François LOOS tente de négocier un rapprochement entre pôles scientifiques franco-japonais dédiés aux nanotechnologies.
Le "nanomonde" est celui de l'infiniment petit, nano signifiant "un milliardième". Il regroupe trois secteurs clés : la nanoélectronique, la nanobiotechnologie qui combine ingénierie nanométrique et biologie, et les nanomatériaux.
Selon la Commission européenne "le marché mondial actuel de ces produits est évalué à 2,5 milliards d'euros", et pourrait atteindre "plusieurs centaines de milliards d'euros d'ici 2010".
Consciente de l'enjeu, la France a choisi d'organiser la première édition des rencontres franco-japonaises des pôles d'excellence dans le cadre du salon Nano Tech 2005 (www.ics-inc.co.jp).
A cette occasion, François LOOS, ministre français délégué au commerce extérieur, a rappelé que "l'innovation, clef de la croissance future, doit être permanente" et qu'une étroite collaboration est nécessaire pour rester "au premier rang".
Pour mémoire, les pôles de compétitivité sont des espaces géographiques limités où se regroupent entreprises, laboratoires et organismes de formation "autour de projets coopératifs innovants avec le soutien des collectivités".
Le ministre a invité les entrepreneurs et chercheurs japonais à découvrir la vingtaine d'entreprises françaises et les quatre pôles régionaux représentés lors de cette 4ème édition du Nano Tech.
350 organismes et entreprises exposent et près de 30.000 visiteurs sont attendus au salon international Nano Tech 2005. Saké !
