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L'association de défense des consommateurs a assigné en justice pour "tromperie et vente liée" Sony et , spécialistes du divertissement numérique.
Que Choisir s'attaque aux poids lourds de la musique "légale" sur Internet.
L'Union fédérale des consommateurs a signalé lundi 14 février 2005 avoir assigné en justice le géant de l'électronique et du multimédia japonais Sony et le groupe informatique américain Apple.
L'association reproche aux deux spécialistes du divertissement à domicile de "verrouiller" leurs services de musique en ligne : Apple iTunes Music Store et Sony Connect.
Ces services de téléchargements légaux et payants utilisent des systèmes de gestion des droits numériques (DRM). De plus, les titres proposés font l'objet d'accords avec des labels indépendants et les majors du disque : Warner, Universal Music, EMI, Sony, BMG.
Pour iTunes Music Store le succès est au rendez-vous. La direction d'Apple a annoncé fin janvier 2005 que plus de 250 millions de titres ont été achetés et téléchargés depuis le lancement du service en mai 2003. Sony Connect, lancé l'an dernier, aimerait connaître un succès similaire.
Parallèlement à ces services, Apple et Sony fabriquent des lecteurs de musique numérique. Les deux sociétés tiennent à augmenter leurs parts de marché, si nécessaire au détriment de l'interopérabilité.
Ainsi, l'UFC-Que Choisir affirme que les fichiers téléchargés sur Sony Connect sont verrouillés et que "seuls les lecteurs portables de marque Sony sont capables de les déverrouiller". De même, "un consommateur qui décide d'acheter un est ensuite obligé d'acheter sa musique en ligne sur Apple iTunes Music Store, s'il veut l'écouter sur son baladeur".
Ces pratiques, souligne l'UFC-Que Choisir, sont préjudiciables aux consommateurs et limitent "la libre circulation des oeuvres de l'esprit".
L'association a donc assigné pour "tromperie et vente liée" Apple Computer France devant le tribunal de grande instance de Paris, Sony France et Sony UK devant le TGI de Nanterre, Hauts-de-Seine.
Que Choisir s'attaque aux poids lourds de la musique "légale" sur Internet.
L'Union fédérale des consommateurs a signalé lundi 14 février 2005 avoir assigné en justice le géant de l'électronique et du multimédia japonais Sony et le groupe informatique américain Apple.
L'association reproche aux deux spécialistes du divertissement à domicile de "verrouiller" leurs services de musique en ligne : Apple iTunes Music Store et Sony Connect.
Ces services de téléchargements légaux et payants utilisent des systèmes de gestion des droits numériques (DRM). De plus, les titres proposés font l'objet d'accords avec des labels indépendants et les majors du disque : Warner, Universal Music, EMI, Sony, BMG.
Pour iTunes Music Store le succès est au rendez-vous. La direction d'Apple a annoncé fin janvier 2005 que plus de 250 millions de titres ont été achetés et téléchargés depuis le lancement du service en mai 2003. Sony Connect, lancé l'an dernier, aimerait connaître un succès similaire.
Parallèlement à ces services, Apple et Sony fabriquent des lecteurs de musique numérique. Les deux sociétés tiennent à augmenter leurs parts de marché, si nécessaire au détriment de l'interopérabilité.
Ainsi, l'UFC-Que Choisir affirme que les fichiers téléchargés sur Sony Connect sont verrouillés et que "seuls les lecteurs portables de marque Sony sont capables de les déverrouiller". De même, "un consommateur qui décide d'acheter un est ensuite obligé d'acheter sa musique en ligne sur Apple iTunes Music Store, s'il veut l'écouter sur son baladeur".
Ces pratiques, souligne l'UFC-Que Choisir, sont préjudiciables aux consommateurs et limitent "la libre circulation des oeuvres de l'esprit".
L'association a donc assigné pour "tromperie et vente liée" Apple Computer France devant le tribunal de grande instance de Paris, Sony France et Sony UK devant le TGI de Nanterre, Hauts-de-Seine.
