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L'Autorité de régulation des télécommunications a rendu publique vendredi la synthèse de la consultation ouverte sur le remplacement du "12".
Le "12" vit ses derniers moments !
Le 3 décembre 2004, l'Autorité française de régulation des télécommunications a rendu publique la synthèse de la consultation ouverte sur son remplacement du "12" par des numéros de renseignements téléphoniques de type "118XY[Z]".
L'ART (www.art-telecom.fr) rappelle dans sa synthèse que "la plupart des acteurs s'accordent avec la définition d'un service de renseignements de base".
Dans leur majorité, ils estiment que les données de base - incluses dans l'annuaire universel - "doivent pouvoir être enrichies par les éditeurs et rendues accessibles par téléphone, par télécopie, par e-mail, par SMS, etc."
La réforme exigée par le Conseil d'Etat, vise à stimuler la concurrence en attribuant des numéros "d'un même format à tous les opérateurs offrant des services de renseignements téléphoniques."
Une trentaine de professionnels, opérateurs (France Télécom, Neuf Telecom, Orange, SFR, Bouygues Telecom...), fournisseurs de services (IntraCall Center, Pages Jaunes...), le ministère de l'intérieur, des syndicats, des associations (ADEIC, AFUTT ...) et des particuliers, ont apporté leurs contributions à la consultation publique ouverte par l'ART fin juillet dernier.
Malgré les divergences, des points de convergence ont été dégagés : le retrait du "12" et d'autres numéros attribués jusqu'ici aux renseignements téléphoniques, la fourniture d'un service "de base" (annuaire universel), le tirage au sort par l'ART pour l'attribution initiale des "nouveaux" numéros.
Il est probable que l'Autorité française de régulation des télécoms prenne sa décision dans les semaines à venir. En attendant, le "12" reste valide.
Le "12" vit ses derniers moments !
Le 3 décembre 2004, l'Autorité française de régulation des télécommunications a rendu publique la synthèse de la consultation ouverte sur son remplacement du "12" par des numéros de renseignements téléphoniques de type "118XY[Z]".
L'ART (www.art-telecom.fr) rappelle dans sa synthèse que "la plupart des acteurs s'accordent avec la définition d'un service de renseignements de base".
Dans leur majorité, ils estiment que les données de base - incluses dans l'annuaire universel - "doivent pouvoir être enrichies par les éditeurs et rendues accessibles par téléphone, par télécopie, par e-mail, par SMS, etc."
La réforme exigée par le Conseil d'Etat, vise à stimuler la concurrence en attribuant des numéros "d'un même format à tous les opérateurs offrant des services de renseignements téléphoniques."
Une trentaine de professionnels, opérateurs (France Télécom, Neuf Telecom, Orange, SFR, Bouygues Telecom...), fournisseurs de services (IntraCall Center, Pages Jaunes...), le ministère de l'intérieur, des syndicats, des associations (ADEIC, AFUTT ...) et des particuliers, ont apporté leurs contributions à la consultation publique ouverte par l'ART fin juillet dernier.
Malgré les divergences, des points de convergence ont été dégagés : le retrait du "12" et d'autres numéros attribués jusqu'ici aux renseignements téléphoniques, la fourniture d'un service "de base" (annuaire universel), le tirage au sort par l'ART pour l'attribution initiale des "nouveaux" numéros.
Il est probable que l'Autorité française de régulation des télécoms prenne sa décision dans les semaines à venir. En attendant, le "12" reste valide.
