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La Commission européenne a annoncé le 26 octobre 2004 autoriser le projet d'acquisition de l'éditeur de logiciels d'entreprise PeopleSoft par Oracle.
Sans surprise, la Commission européenne a donné son aval mardi 26 octobre 2004 au projet d'acquisition de PeopleSoft Inc. par son puissant rival Oracle Corp.
En juin 2003, Oracle, second éditeur mondial de logiciels derrière Microsoft, lançait une offre publique d'achat (OPA) hostile sur PeopleSoft. Depuis, un bras de fer s'est engagé entre les deux multinationales d'origine américaine.
Aux Etats-Unis, la fusion entre les géants du progiciel intégré de gestion (ERP) a obtenu le feu vert d'un juge fédéral (District Court of Northern California) en septembre dernier, et ce malgré les hésitations du Département américain de la justice.
De son côté, l'exécutif européen qui a été notifié du projet il y a un an "en vertu du règlement sur les concentrations", est parvenu à la conclusion "qu'il n'existe pas de preuves suffisantes attestant que l'opération nuira à la concurrence".
La Commission estime en outre que les sociétés ont toujours la possibilité de sélectionner d'autres éditeurs pour leur gestion comptable, financière, RH, relations clients, logistique... Parmi ces éditeurs : Lawson, IFS, Intentia et QAD.
Bruxelles a ajouté qu'il existe des marchés distincts pour les logiciels de GRH et de gestion financière destinés "aux grandes entreprises complexes".
En résumé, même si le projet de concentration ramenait le nombre de puissants éditeurs de logiciels d'entreprise de trois à deux - l'américain Oracle et l'allemand - "les marchés resteraient concurrentiels", selon l'exécutif européen.
Pour acquérir PeopleSoft entré en résistance, Oracle propose la somme de 21 dollars par action, soit un montant total de 7,7 milliards de dollars.
Sans surprise, la Commission européenne a donné son aval mardi 26 octobre 2004 au projet d'acquisition de PeopleSoft Inc. par son puissant rival Oracle Corp.
En juin 2003, Oracle, second éditeur mondial de logiciels derrière Microsoft, lançait une offre publique d'achat (OPA) hostile sur PeopleSoft. Depuis, un bras de fer s'est engagé entre les deux multinationales d'origine américaine.
Aux Etats-Unis, la fusion entre les géants du progiciel intégré de gestion (ERP) a obtenu le feu vert d'un juge fédéral (District Court of Northern California) en septembre dernier, et ce malgré les hésitations du Département américain de la justice.
De son côté, l'exécutif européen qui a été notifié du projet il y a un an "en vertu du règlement sur les concentrations", est parvenu à la conclusion "qu'il n'existe pas de preuves suffisantes attestant que l'opération nuira à la concurrence".
La Commission estime en outre que les sociétés ont toujours la possibilité de sélectionner d'autres éditeurs pour leur gestion comptable, financière, RH, relations clients, logistique... Parmi ces éditeurs : Lawson, IFS, Intentia et QAD.
Bruxelles a ajouté qu'il existe des marchés distincts pour les logiciels de GRH et de gestion financière destinés "aux grandes entreprises complexes".
En résumé, même si le projet de concentration ramenait le nombre de puissants éditeurs de logiciels d'entreprise de trois à deux - l'américain Oracle et l'allemand - "les marchés resteraient concurrentiels", selon l'exécutif européen.
Pour acquérir PeopleSoft entré en résistance, Oracle propose la somme de 21 dollars par action, soit un montant total de 7,7 milliards de dollars.
