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Bruxelles et l'Agence européenne de l'environnement travaillent à la mise en ligne future d'un "Registre européen des rejets et des transferts de polluants".
Curieux ou soucieux de l'avenir de la planète, plus de 100 000 internautes ont visité entre février et avril dernier le site web du "Registre européen des émissions industrielles" (www.eper.cec.eu.int/).
La Commission et l'Agence européenne de l'environnement, les deux institutions initiatrices du projet qui a vu le jour début 2004, souhaite renforcer l'offre d'information proposée aux internautes en passant de l'EPER (European Pollutant Emission Register) au PRTR (European Pollutant Release and Transfer Register ou "Registre européen des rejets et des transferts de polluants").
Le registre actuel renseigne l'internaute sur les concentrations de polluants, sur la qualité de l'environnement, sur les émissions provenant d'installations industrielles.
Le PRTR, mis à jour annuellement, devra faire référence à un plus grand nombre de polluants et de types d'émissions (transports, trafic routier, agriculture, etc.)
En gros, l'EPER concerne "56 activités industrielles et 50 substances émises dans l'air et dans l'eau", alors que le PRTR devrait couvrir "65 activités industrielles et plus de 90 substances rejetées dans l'air, l'eau et le sol."
Par ailleurs, le PRTR fournira aux personnes intéressées des informations sur "le futur" des déchets et des eaux usées provenant d'installations industrielles.
"Etre informé sur la qualité de l'environnement est un des droits fondamentaux des citoyens. Par ailleurs, cette information constitue un préalable à leur participation au processus décisionnel", a souligné Margot WALLSTROM, commissaire européenne chargée de l'environnement.
Outre les citoyens, les registres de polluants apportent des informations précieuses aux élus, aux industriels, aux chercheurs, aux assureurs...
Ressource non négligeable de données environnementales européennes, le PRTR devrait être opérationnel en 2007. Néanmoins la mise en ligne du Registre ne sera pas effective avant l'automne 2009.
Curieux ou soucieux de l'avenir de la planète, plus de 100 000 internautes ont visité entre février et avril dernier le site web du "Registre européen des émissions industrielles" (www.eper.cec.eu.int/).
La Commission et l'Agence européenne de l'environnement, les deux institutions initiatrices du projet qui a vu le jour début 2004, souhaite renforcer l'offre d'information proposée aux internautes en passant de l'EPER (European Pollutant Emission Register) au PRTR (European Pollutant Release and Transfer Register ou "Registre européen des rejets et des transferts de polluants").
Le registre actuel renseigne l'internaute sur les concentrations de polluants, sur la qualité de l'environnement, sur les émissions provenant d'installations industrielles.
Le PRTR, mis à jour annuellement, devra faire référence à un plus grand nombre de polluants et de types d'émissions (transports, trafic routier, agriculture, etc.)
En gros, l'EPER concerne "56 activités industrielles et 50 substances émises dans l'air et dans l'eau", alors que le PRTR devrait couvrir "65 activités industrielles et plus de 90 substances rejetées dans l'air, l'eau et le sol."
Par ailleurs, le PRTR fournira aux personnes intéressées des informations sur "le futur" des déchets et des eaux usées provenant d'installations industrielles.
"Etre informé sur la qualité de l'environnement est un des droits fondamentaux des citoyens. Par ailleurs, cette information constitue un préalable à leur participation au processus décisionnel", a souligné Margot WALLSTROM, commissaire européenne chargée de l'environnement.
Outre les citoyens, les registres de polluants apportent des informations précieuses aux élus, aux industriels, aux chercheurs, aux assureurs...
Ressource non négligeable de données environnementales européennes, le PRTR devrait être opérationnel en 2007. Néanmoins la mise en ligne du Registre ne sera pas effective avant l'automne 2009.
