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Face aux réseaux républicains, le candidat démocrate à la présidentielle américaine de novembre 04 dispose de soutiens solides, de Steve Jobs à Eric Schmidt.
Aux Etats-Unis, la politique, comme le show, est un "business". Dans ce contexte, la course à la présidence est l'occasion pour les milieux d'affaires américains d'investir sur le candidat de leur choix.
Face aux solides attaches industrielles, notamment pétrolières, du texan George W. BUSH, candidat à sa propre succession au poste de Président des Etats-Unis d'Amérique, John KERRY n'est pas en reste.
Catholique pratiquant comme les KENNEDY, ancien de la guerre du Vietnam, sénateur du Massachusetts, le candidat démocrate à la présidentielle de novembre 2004 est marié à Teresa HEINZ KERRY, héritière de l'empire agroalimentaire Heinz. John KERRY, lui-même, a investi dans plusieurs fonds d'investissements dédiés aux nouvelles technologies.
Fin mai 2004, le candidat démocrate avait déjà obtenu 50 millions de dollars par l'intermédiaire de son site Internet www.johnkerry.com, contre 7,6 millions de dollars pour George W. BUSH, qui a privilégié les réseaux traditionnels. A ce jour, toutefois, le candidat républicain a collecté une somme globale supérieure, environ 230 millions de dollars, contre 180 millions pour son adversaire.
Alors que la campagne de G. BUSH bénéficie des largesses de très nombreux dirigeants, dont les patrons des multinationales Microsoft, Coca Cola Company et Walt Disney, celle de J. KERRY peut compter sur 200 "décideurs" prêts à soutenir la campagne démocrate.
Parmi eux : Steve JOBS, Président d'Apple, Charles PHILLIPS, Président d'Oracle, Daniel ROSENSWEIG, Directeur des opérations de !, Eric SCHMIDT, patron de Google, Michael LYNTON (Sony Pictures Entertainment), Robert WEINSTEIN (Miramax), Jeffrey KATZENBERG (Dreamworks), Robert RUBIN (Citigroup), Robert HORMATS (Goldman Sachs) et Peter CHERNIN, Président de News Corp.
Ce dernier a déclaré lors de la conférence démocrate du 4 août 2004 à Davenport, Iowa : "Le programme du duo KERRY/EDWARDS est exactement ce qu'il faut pour stimuler les entreprises et remettre au travail l'Amérique."
Aux Etats-Unis, la politique, comme le show, est un "business". Dans ce contexte, la course à la présidence est l'occasion pour les milieux d'affaires américains d'investir sur le candidat de leur choix.
Face aux solides attaches industrielles, notamment pétrolières, du texan George W. BUSH, candidat à sa propre succession au poste de Président des Etats-Unis d'Amérique, John KERRY n'est pas en reste.
Catholique pratiquant comme les KENNEDY, ancien de la guerre du Vietnam, sénateur du Massachusetts, le candidat démocrate à la présidentielle de novembre 2004 est marié à Teresa HEINZ KERRY, héritière de l'empire agroalimentaire Heinz. John KERRY, lui-même, a investi dans plusieurs fonds d'investissements dédiés aux nouvelles technologies.
Fin mai 2004, le candidat démocrate avait déjà obtenu 50 millions de dollars par l'intermédiaire de son site Internet www.johnkerry.com, contre 7,6 millions de dollars pour George W. BUSH, qui a privilégié les réseaux traditionnels. A ce jour, toutefois, le candidat républicain a collecté une somme globale supérieure, environ 230 millions de dollars, contre 180 millions pour son adversaire.
Alors que la campagne de G. BUSH bénéficie des largesses de très nombreux dirigeants, dont les patrons des multinationales Microsoft, Coca Cola Company et Walt Disney, celle de J. KERRY peut compter sur 200 "décideurs" prêts à soutenir la campagne démocrate.
Parmi eux : Steve JOBS, Président d'Apple, Charles PHILLIPS, Président d'Oracle, Daniel ROSENSWEIG, Directeur des opérations de !, Eric SCHMIDT, patron de Google, Michael LYNTON (Sony Pictures Entertainment), Robert WEINSTEIN (Miramax), Jeffrey KATZENBERG (Dreamworks), Robert RUBIN (Citigroup), Robert HORMATS (Goldman Sachs) et Peter CHERNIN, Président de News Corp.
Ce dernier a déclaré lors de la conférence démocrate du 4 août 2004 à Davenport, Iowa : "Le programme du duo KERRY/EDWARDS est exactement ce qu'il faut pour stimuler les entreprises et remettre au travail l'Amérique."
