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La Commission européenne a donné son aval à la reprise par Wendel des actifs de la société Editis, ex-Vivendi Universal Publishing, cédés par Lagardère.
Sans grande surprise, la Commission européenne a donné son accord à la reprise des actifs d'Editis (www.editis.com), ex-VUP, par Wendel Investissement.
Cette opération intervient après que le groupe Lagardère se soit engagé à céder "l'intégralité des maisons d'édition, le réseau de distribution et les structures de commercialisation de l'ex-VUP, à l'exception de certains actifs explicitement identifiés", a précisé l'exécutif européen mardi sur le portail Europa.
Lagardère, qui souhaitait initialement reprendre l'ensemble des actifs de l'ex-VUP, avait été autorisé en janvier dernier par Bruxelles à conserver une partie seulement de ses actifs, soit les éditions Larousse, Dalloz, Dunod et Anaya.
Le reste des actifs "devaient être cédés à un repreneur en vue de préserver la concurrence sur les marchés de l'édition francophone en Europe", a rappelé l'exécutif européen.
Fin mai 2004, conformément à la demande de la Commission, Lagardère a annoncé souhaiter vendre au candidat Wendel Investissement 60% des actifs d'Editis, pour la somme de 660 millions d'euros.
Cette opération doit permettre à Wendel d'occuper la 2ème position sur le marché français de l'édition (Le Robert, Bordas, Nathan, Robert Laffont, Julliard, La Découverte, Pocket, 10/18, Fleuve Noir...)
Société de droit français, cotée à la bourse de Paris, Wendel Investissement est dirigée par Ernest-Antoine SEILLIERE, actuel Président du MEDEF.
Parallèlement à l'édition, Wendel détient des participations dans de grands groupes industriels (Legrand, Valeo), de services (Cap Gemini Ernst & Young, Bureau Veritas), des télécoms (LDCOM), ainsi que dans le domaine de la santé (bioMérieux Alliance).
Quoi qu'il en soit, la Commission européenne considère que Wendel (www.wendel-investissement.com) "en tant que repreneur du nouvel ensemble Editis ainsi reconstitué, remplit les critères d'indépendance, de viabilité et de capacité à développer une concurrence effective sur les marchés concernés."
Sans grande surprise, la Commission européenne a donné son accord à la reprise des actifs d'Editis (www.editis.com), ex-VUP, par Wendel Investissement.
Cette opération intervient après que le groupe Lagardère se soit engagé à céder "l'intégralité des maisons d'édition, le réseau de distribution et les structures de commercialisation de l'ex-VUP, à l'exception de certains actifs explicitement identifiés", a précisé l'exécutif européen mardi sur le portail Europa.
Lagardère, qui souhaitait initialement reprendre l'ensemble des actifs de l'ex-VUP, avait été autorisé en janvier dernier par Bruxelles à conserver une partie seulement de ses actifs, soit les éditions Larousse, Dalloz, Dunod et Anaya.
Le reste des actifs "devaient être cédés à un repreneur en vue de préserver la concurrence sur les marchés de l'édition francophone en Europe", a rappelé l'exécutif européen.
Fin mai 2004, conformément à la demande de la Commission, Lagardère a annoncé souhaiter vendre au candidat Wendel Investissement 60% des actifs d'Editis, pour la somme de 660 millions d'euros.
Cette opération doit permettre à Wendel d'occuper la 2ème position sur le marché français de l'édition (Le Robert, Bordas, Nathan, Robert Laffont, Julliard, La Découverte, Pocket, 10/18, Fleuve Noir...)
Société de droit français, cotée à la bourse de Paris, Wendel Investissement est dirigée par Ernest-Antoine SEILLIERE, actuel Président du MEDEF.
Parallèlement à l'édition, Wendel détient des participations dans de grands groupes industriels (Legrand, Valeo), de services (Cap Gemini Ernst & Young, Bureau Veritas), des télécoms (LDCOM), ainsi que dans le domaine de la santé (bioMérieux Alliance).
Quoi qu'il en soit, la Commission européenne considère que Wendel (www.wendel-investissement.com) "en tant que repreneur du nouvel ensemble Editis ainsi reconstitué, remplit les critères d'indépendance, de viabilité et de capacité à développer une concurrence effective sur les marchés concernés."