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Après plus de 6 mois de négociations, Prudential va finalement conserver sa forte participation dans la banque en ligne britannique Egg.
Le groupe britannique Prudential (www.prudential.co.uk) qui tentait depuis des mois de négocier la cessation de sa participation globale dans Egg plc, a finalement choisi de conserver sa participation de 79% dans sa filiale.
Réservés, les acquéreurs potentiels de la banque en ligne, dont la Royal Bank of Scotland, HSBC et l'américain MBNA, ont signalé dès le début des négociations leur volonté de ne pas investir dans la branche française, déficitaire (www.fr.egg.com). Un déficit qui a entraîné le doublement de la perte globale de la banque en ligne l'an dernier.
Au final, après 7 mois de discussions, l'assureur Prudential a déclaré ne pas avoir trouvé d'acheteur qui soit prêt à proposer "une offre reflétant la valeur de l'entreprise"
Le groupe espérait vendre ses actions au prix unitaire de 2 livres, soit 1,6 milliard de livres. Or, la valeur de Egg plc est aujourd'hui estimée à 1,1 milliard de livres, soit quatre fois moins qu'en 1999, après une première année faste d'activité.
Par conséquent, a déclaré la direction du groupe mardi dans un communiqué, "conserver notre participation de 79% dans Egg, plutôt que de vendre, est une solution préférable pour nos actionnaires."
Jonathan BLOOMER, Directeur général de Prudential, a ajouté que le retrait de la banque en ligne du marché français, retrait annoncé le mois dernier, permet à Egg plc de disposer "d'un fort potentiel de croissance."
Bien que le groupe Prudential ait annoncé des résultats meilleurs que prévu la semaine dernière, le titre Egg a perdu plus de 20% de sa valeur en bourse à l'annonce du choix de Prudential le 3 août 2004.
Le groupe britannique Prudential (www.prudential.co.uk) qui tentait depuis des mois de négocier la cessation de sa participation globale dans Egg plc, a finalement choisi de conserver sa participation de 79% dans sa filiale.
Réservés, les acquéreurs potentiels de la banque en ligne, dont la Royal Bank of Scotland, HSBC et l'américain MBNA, ont signalé dès le début des négociations leur volonté de ne pas investir dans la branche française, déficitaire (www.fr.egg.com). Un déficit qui a entraîné le doublement de la perte globale de la banque en ligne l'an dernier.
Au final, après 7 mois de discussions, l'assureur Prudential a déclaré ne pas avoir trouvé d'acheteur qui soit prêt à proposer "une offre reflétant la valeur de l'entreprise"
Le groupe espérait vendre ses actions au prix unitaire de 2 livres, soit 1,6 milliard de livres. Or, la valeur de Egg plc est aujourd'hui estimée à 1,1 milliard de livres, soit quatre fois moins qu'en 1999, après une première année faste d'activité.
Par conséquent, a déclaré la direction du groupe mardi dans un communiqué, "conserver notre participation de 79% dans Egg, plutôt que de vendre, est une solution préférable pour nos actionnaires."
Jonathan BLOOMER, Directeur général de Prudential, a ajouté que le retrait de la banque en ligne du marché français, retrait annoncé le mois dernier, permet à Egg plc de disposer "d'un fort potentiel de croissance."
Bien que le groupe Prudential ait annoncé des résultats meilleurs que prévu la semaine dernière, le titre Egg a perdu plus de 20% de sa valeur en bourse à l'annonce du choix de Prudential le 3 août 2004.