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Selon la Business Software Alliance France (BSA), le piratage de logiciels représenterait désormais près de 29 milliards de dollars à l'échelle internationale
Selon la Business Software Alliance France (BSA), association porte-parole de l'industrie du logiciel professionnel, le piratage de logiciels représenterait désormais près de 29 milliards de dollars à l'échelle internationale. En France, 43 % des logiciels, soit près d'un logiciel sur deux, sont des copies illicites, c'est-à-dire installées et utilisées sans licence et sans rémunération pour les auteurs.
Ce chiffre place la France parmi les pays européens enregistrant les plus forts taux de piratage, après la Grèce (63 %), l'Espagne et l'Italie (47 % respectivement).... et loin derrière la moyenne européenne qui se situe à 35%. A l'échelle mondiale, le meilleur élève est le marché américain avec 22% de logiciels piratés tandis que le marché vietnamien se situe à la dernière place avec un taux de piratage de 92%.
BSA France tient également à tirer la sonnette d'alarme à propos d'une nouvelle forme de piraterie, plus subtile, proposant la vente de logiciels à des tarifs particulièrement bas. L'association a constaté, au dernier trimestre, une forte progression du nombre de signalements concernant des logiciels illicites proposés par e-mail ainsi que des sites web pirates de vente à distance.
" Malheureusement, ces sites ont parfois l'apparence de la légitimité. Ils peuvent utiliser des graphismes très professionnels et des copies de logos des éditeurs, mais ils sont de plus en plus le moyen favori d'organisations criminelles pour amener entreprises et consommateurs à acheter des logiciels illicites, et ainsi à gagner de l'argent de manière totalement illégale ", regrette Bertrand Salord, Porte-parole de BSA France. " L'action de BSA vise à créer un environnement numérique légal et sûr, garantissant la protection des entreprises et des consommateurs. Toutes ces offres constituent un problème majeur, car elles trompent le consommateur et détériorent ainsi la confiance des entreprises et des consommateurs dans les achats en ligne. C'est la raison pour laquelle BSA France est membre du Groupe de contact des acteurs de la lutte contre le spam", poursuit Bertrand Salord.
Bien que bénéficiant de champions dans le domaine des services informatiques, la France ne dispose pas de champions dans le domaine du logiciel est a parfois tendance à prendre ce phénomène de piratage à la légère. L'association entend convaincre les français et les autorités qu'une baisse du piratage créerait de la richesse et de l'emploi. Un argumentaire qui rappelle celui de l'industrie du disque mais qui ne risque pas de culpabiliser des internautes, bercés par la culture du freeware ou du service en ligne.
Selon la Business Software Alliance France (BSA), association porte-parole de l'industrie du logiciel professionnel, le piratage de logiciels représenterait désormais près de 29 milliards de dollars à l'échelle internationale. En France, 43 % des logiciels, soit près d'un logiciel sur deux, sont des copies illicites, c'est-à-dire installées et utilisées sans licence et sans rémunération pour les auteurs.
Ce chiffre place la France parmi les pays européens enregistrant les plus forts taux de piratage, après la Grèce (63 %), l'Espagne et l'Italie (47 % respectivement).... et loin derrière la moyenne européenne qui se situe à 35%. A l'échelle mondiale, le meilleur élève est le marché américain avec 22% de logiciels piratés tandis que le marché vietnamien se situe à la dernière place avec un taux de piratage de 92%.
BSA France tient également à tirer la sonnette d'alarme à propos d'une nouvelle forme de piraterie, plus subtile, proposant la vente de logiciels à des tarifs particulièrement bas. L'association a constaté, au dernier trimestre, une forte progression du nombre de signalements concernant des logiciels illicites proposés par e-mail ainsi que des sites web pirates de vente à distance.
" Malheureusement, ces sites ont parfois l'apparence de la légitimité. Ils peuvent utiliser des graphismes très professionnels et des copies de logos des éditeurs, mais ils sont de plus en plus le moyen favori d'organisations criminelles pour amener entreprises et consommateurs à acheter des logiciels illicites, et ainsi à gagner de l'argent de manière totalement illégale ", regrette Bertrand Salord, Porte-parole de BSA France. " L'action de BSA vise à créer un environnement numérique légal et sûr, garantissant la protection des entreprises et des consommateurs. Toutes ces offres constituent un problème majeur, car elles trompent le consommateur et détériorent ainsi la confiance des entreprises et des consommateurs dans les achats en ligne. C'est la raison pour laquelle BSA France est membre du Groupe de contact des acteurs de la lutte contre le spam", poursuit Bertrand Salord.
Bien que bénéficiant de champions dans le domaine des services informatiques, la France ne dispose pas de champions dans le domaine du logiciel est a parfois tendance à prendre ce phénomène de piratage à la légère. L'association entend convaincre les français et les autorités qu'une baisse du piratage créerait de la richesse et de l'emploi. Un argumentaire qui rappelle celui de l'industrie du disque mais qui ne risque pas de culpabiliser des internautes, bercés par la culture du freeware ou du service en ligne.
