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Quel visage aura la publicité sur internet de demain ? Entre disparition programmée des pop-up et montée en puissance des liens sponsorisés et liens contextualisés, la société américaine DoubleClick, spécialisée dans les logiciels de gestion de campagnes, confirme le succès des formats "rich média" en hausse de 43% sur la région EMEA au quatrième trimestre 2003.
L'utilisation du rich media a augmenté pour atteindre 37.5% de toutes les publicités lancées avec la technologie développée par DoubleClick. Le rich media inclue les publicités dynamiques sur pages Web, les pop-ups et toutes celles utilisant la technologie créative Macromedia Flash. DoubleClick conserve un nombre de publicités rich media supérieur à la moyenne du marché, en raison du nombre croissant de ses clients investissant dans le rich media. Actuellement, moins de 2 % des publicités rich media de DoubleClick sont des pop-ups.
Par ailleurs, le rich media continue d'afficher des taux de conversion supérieurs à ceux du média non enrichi (publicités GIF et JPEG). Il génère un taux d'activité post-contact supérieur (1,11% contre 0,54%) et un taux de vente post-contact attractif également (2,30% contre 1,47%). Le taux de click-throughs rich media au dernier trimestre 2003, qui s'élève à 1,24 %, reste supérieur au taux de réponse directe pour les supports traditionnels. Par exemple, Abacus, filiale de DoubleClick Inc. et principal fournisseur de données et de recherches pour l'industrie du marketing direct, présente un taux de retour catalogue égal à 0,37%.
" Nos observations montrent que le rich media continue de générer des résultats exceptionnels, en particulier lorsque nous analysons son impact latent sur la conversion " a déclaré Ben Regensburger, vice-président des ventes et de la gestion des comptes pour la région EMEA chez DoubleClick. " Le taux de view-throughs, c'est-à-dire quand le consommateur agit dans les 30 jours après avoir vu la publicité, a augmenté de 42% depuis l'année dernière à la même époque. "
Même si des formats comme le pop-up sont condamnés à disparaître avec des outils comme la Google Toolbar ou la prochaine mise à jour SP2 Windows de Microsoft, cette étude démontre en tout cas que la bannière n'est pas morte, à condition qu'elle s'essaye à l'interactivité et qu'elle enrichisse ses interfaces. Les promoteurs des liens publicitaires n'ont donc pas encore gagné.
L'utilisation du rich media a augmenté pour atteindre 37.5% de toutes les publicités lancées avec la technologie développée par DoubleClick. Le rich media inclue les publicités dynamiques sur pages Web, les pop-ups et toutes celles utilisant la technologie créative Macromedia Flash. DoubleClick conserve un nombre de publicités rich media supérieur à la moyenne du marché, en raison du nombre croissant de ses clients investissant dans le rich media. Actuellement, moins de 2 % des publicités rich media de DoubleClick sont des pop-ups.
Par ailleurs, le rich media continue d'afficher des taux de conversion supérieurs à ceux du média non enrichi (publicités GIF et JPEG). Il génère un taux d'activité post-contact supérieur (1,11% contre 0,54%) et un taux de vente post-contact attractif également (2,30% contre 1,47%). Le taux de click-throughs rich media au dernier trimestre 2003, qui s'élève à 1,24 %, reste supérieur au taux de réponse directe pour les supports traditionnels. Par exemple, Abacus, filiale de DoubleClick Inc. et principal fournisseur de données et de recherches pour l'industrie du marketing direct, présente un taux de retour catalogue égal à 0,37%.
" Nos observations montrent que le rich media continue de générer des résultats exceptionnels, en particulier lorsque nous analysons son impact latent sur la conversion " a déclaré Ben Regensburger, vice-président des ventes et de la gestion des comptes pour la région EMEA chez DoubleClick. " Le taux de view-throughs, c'est-à-dire quand le consommateur agit dans les 30 jours après avoir vu la publicité, a augmenté de 42% depuis l'année dernière à la même époque. "
Même si des formats comme le pop-up sont condamnés à disparaître avec des outils comme la Google Toolbar ou la prochaine mise à jour SP2 Windows de Microsoft, cette étude démontre en tout cas que la bannière n'est pas morte, à condition qu'elle s'essaye à l'interactivité et qu'elle enrichisse ses interfaces. Les promoteurs des liens publicitaires n'ont donc pas encore gagné.
