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Le très controversé Kazaa serait-il en passe de devenir payant ? C'est en tout cas ce qu'affirme le journal australien "Sidney Morning Herald".
En effet, Sharman Networks, éditeur de Kazaa, chercherait à faire payer le téléchargement de musiques via son réseau peer to peer dans un premier temps par carte de crédit puis directement en prélevant la somme demandée sur la facture émise par les FAI.
Fort d'une audience moyenne de 5 millions d'utilisateurs connectés simultanément Nikki Hemming, PDG de Sharman Networks, aurait précisé que ce nouveau business model offrirait un "grand espoir pour l'industrie du divertissement".
Gratuit, Kazaa a toutefois fait un premier pas vers le payant avec le lancement mi-septembre d'une version avancée de son logiciel P2P. En outre, la société propose depuis peu un service de "peer points" et de "gold files" traduisant son intérêt pour la monétisation du peer-to-peer.
Alors que Roxio relance une version légale de Napster, Kazaa pourrait-il à son tour abandonner le piratage ?
En effet, Sharman Networks, éditeur de Kazaa, chercherait à faire payer le téléchargement de musiques via son réseau peer to peer dans un premier temps par carte de crédit puis directement en prélevant la somme demandée sur la facture émise par les FAI.
Fort d'une audience moyenne de 5 millions d'utilisateurs connectés simultanément Nikki Hemming, PDG de Sharman Networks, aurait précisé que ce nouveau business model offrirait un "grand espoir pour l'industrie du divertissement".
Gratuit, Kazaa a toutefois fait un premier pas vers le payant avec le lancement mi-septembre d'une version avancée de son logiciel P2P. En outre, la société propose depuis peu un service de "peer points" et de "gold files" traduisant son intérêt pour la monétisation du peer-to-peer.
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