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Voilà près d'une semaine que les représentants de 78 000 employés de Verizon (www.verizon.com), puissant opérateur américain de télécommunications, tentent d'obtenir des garanties quant à l'avenir de l'emploi au sein du groupe.
De nombreux salariés de Verizon ont menacé de se mettre en grève et par conséquent de perturber le trafic de téléphonie fixe dans les 13 Etats où l'opérateur concentre ses activités, si leurs revendications n'étaient pas écoutées et officialisées par contrat.
Fort heureusement, les négociations du week end entre la direction du groupe et les représentants des salariés auraient permis d'éclairer certains points, selon le porte-parole de Verizon Eric RABE, bien que "des problèmes importants n'aient pas encore été résolus", d'après le syndicat Communications Workers of America (www.cwa-union.org).
Verizon, CWA et le syndicat minoritaire International Brotherhood of Electrical Workers (www.ibew.org) mènent des tractations difficiles sur des questions liées à l'emploi et à la couverture médicale.
La direction de l'opérateur souhaite augmenter la part que ses employés versent pour disposer d'une indispensable couverture médicale, et veut pouvoir licencier plus facilement, les syndicats s'y opposent.
Pour limiter les coûts, le premier opérateur télécoms sur la zone Nord Est des Etats-Unis envisage de supprimer 5000 postes supplémentaires cette année. Or, ces douze derniers mois, Verizon s'est déjà séparé de 13 000 collaborateurs.
Une grève affecterait certains services locaux de l'opérateur et repousserait maintenance, commandes et ouvertures de ligne. En 2000, une grève de 18 jours avait entraîné la mise en attente de 250 000 demandes de réparation et de nouveaux abonnements pour Verizon, alors jeune opérateur issu de la fusion entre Bell Atlantic et GTE.
De nombreux salariés de Verizon ont menacé de se mettre en grève et par conséquent de perturber le trafic de téléphonie fixe dans les 13 Etats où l'opérateur concentre ses activités, si leurs revendications n'étaient pas écoutées et officialisées par contrat.
Fort heureusement, les négociations du week end entre la direction du groupe et les représentants des salariés auraient permis d'éclairer certains points, selon le porte-parole de Verizon Eric RABE, bien que "des problèmes importants n'aient pas encore été résolus", d'après le syndicat Communications Workers of America (www.cwa-union.org).
Verizon, CWA et le syndicat minoritaire International Brotherhood of Electrical Workers (www.ibew.org) mènent des tractations difficiles sur des questions liées à l'emploi et à la couverture médicale.
La direction de l'opérateur souhaite augmenter la part que ses employés versent pour disposer d'une indispensable couverture médicale, et veut pouvoir licencier plus facilement, les syndicats s'y opposent.
Pour limiter les coûts, le premier opérateur télécoms sur la zone Nord Est des Etats-Unis envisage de supprimer 5000 postes supplémentaires cette année. Or, ces douze derniers mois, Verizon s'est déjà séparé de 13 000 collaborateurs.
Une grève affecterait certains services locaux de l'opérateur et repousserait maintenance, commandes et ouvertures de ligne. En 2000, une grève de 18 jours avait entraîné la mise en attente de 250 000 demandes de réparation et de nouveaux abonnements pour Verizon, alors jeune opérateur issu de la fusion entre Bell Atlantic et GTE.
