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La direction d'Alcatel affirme avoir enregistré en Chine pour le seul mois de juillet 2003 des commandes représentant un million de lignes DSL grâce à l'extension "d'importants" contrats.
Alcatel Shanghai Bell, société détenue à 51% par Alcatel et à 49% par des investisseurs chinois, a effectivement réussi à s'imposer sur cet énorme marché.
Avec près de 460 millions d'abonnés télécoms, dont plus de 230 millions d'abonnés à la téléphonie mobile, un peu moins pour la téléphonie fixe, dans un pays de 1,3 milliard d'habitants, il reste de la marge pour Alcatel comme pour ses concurrents en Chine.
En spécialiste des solutions "broadband", Alcatel va notamment livrer 920 000 lignes DSL (Digital Subsriber Line) au premier opérateur fixe chinois : China Telecom Group, né au printemps 2002 de la partition de l'ex-monopole China Telecom.
"Alcatel travaille avec China Telecom depuis 1997. Par ailleurs, l'équipementier français a joué un rôle important lors des premières étapes du développement de la technologie DSL en Chine", a souligné Chang XIAOBING, vice-président de China Telecom.
L'opérateur possède une vingtaine de filiales régionales en Chine méridionale et détient 70% du réseau de transmission interurbain de l'ancien monopole. Alcatel fournira des lignes DSL aux filiales du groupe China Telecom dans 18 provinces.
Pour ce faire, l'opérateur utilisera la plate-forme d'accès Alcatel 7300 ASAM (Advanced Services Access Manager) administrée par le système 5523 AWS (Alcatel ADSL Workstation). Ce n'est pas une surprise puisque China Telecom utilise d'ores et déjà les plates-formes DSLAM (DSL Access Multiplexers) de l'équipementier français.
Le nombre d'abonnés ADSL de China Telecom group serait passé de quelques dizaines de milliers en 2000, à 2,7 millions en juin 2003. Le déploiement par Alcatel de nouvelles lignes DSL, vraisemblablement terminé à la fin de l'année, devrait permettre à China Telecom group de maintenir la forte croissance du nombre de ses abonnés 'haut débit'.
Alcatel Shanghai Bell, société détenue à 51% par Alcatel et à 49% par des investisseurs chinois, a effectivement réussi à s'imposer sur cet énorme marché.
Avec près de 460 millions d'abonnés télécoms, dont plus de 230 millions d'abonnés à la téléphonie mobile, un peu moins pour la téléphonie fixe, dans un pays de 1,3 milliard d'habitants, il reste de la marge pour Alcatel comme pour ses concurrents en Chine.
En spécialiste des solutions "broadband", Alcatel va notamment livrer 920 000 lignes DSL (Digital Subsriber Line) au premier opérateur fixe chinois : China Telecom Group, né au printemps 2002 de la partition de l'ex-monopole China Telecom.
"Alcatel travaille avec China Telecom depuis 1997. Par ailleurs, l'équipementier français a joué un rôle important lors des premières étapes du développement de la technologie DSL en Chine", a souligné Chang XIAOBING, vice-président de China Telecom.
L'opérateur possède une vingtaine de filiales régionales en Chine méridionale et détient 70% du réseau de transmission interurbain de l'ancien monopole. Alcatel fournira des lignes DSL aux filiales du groupe China Telecom dans 18 provinces.
Pour ce faire, l'opérateur utilisera la plate-forme d'accès Alcatel 7300 ASAM (Advanced Services Access Manager) administrée par le système 5523 AWS (Alcatel ADSL Workstation). Ce n'est pas une surprise puisque China Telecom utilise d'ores et déjà les plates-formes DSLAM (DSL Access Multiplexers) de l'équipementier français.
Le nombre d'abonnés ADSL de China Telecom group serait passé de quelques dizaines de milliers en 2000, à 2,7 millions en juin 2003. Le déploiement par Alcatel de nouvelles lignes DSL, vraisemblablement terminé à la fin de l'année, devrait permettre à China Telecom group de maintenir la forte croissance du nombre de ses abonnés 'haut débit'.
