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Les représentants de , fournisseur de solutions matérielles et logicielles pour l'informatique en réseau, et de Microsoft, numéro un mondial du logiciel, se sont présentés dès lundi devant le tribunal fédéral de Baltimore (Maryland).
Dans le cadre d'un procès antitrust engagé en mars 2002 contre Microsoft, Sun demande la ré-intégration de sa plate-forme informatique Java, à la fois langage de programmation orienté-objet, outil de développement d'applications, et environnement d'exécution, au système d'exploitation Windows.
En outre, Sun estime que Microsoft a fait obstacle à l'utilisation de Java pour laisser le champ libre à sa propre plate-forme de services web (.NET). Il réclame plus d'un milliard de dollars de dommages et intérêts à l'éditeur.
Pour le lancement de Windows XP l'an dernier, Microsoft avait abandonné Java, avant d'annoncer qu'il allait à nouveau l'intégrer dans les mises à jour de son système d'exploitation, mais seulement à partir de 2004.
La transition est trop longue pour Sun... Le juge J.Frederick MOTZ, en charge de ce dossier, va-t-il prendre une décision en sa faveur ?
Mardi, un des avocats de Microsoft, David TULCHIN, a souligné que la juge Colleen KOLLAR-KOTELLY avait récemment rejeté la demande de 9 Etats plaignants, sur 18 à l'origine, visant à forcer Microsoft à intégrer Java.
Pour mémoire : La juge KOLLAR-KOTELLY a entériné l'accord à l'amiable conclu entre Microsoft, le Département américain de la justice (US-DOJ) et les 9 autres Etats américains.
Aujourd'hui, il semble que seuls les Etats du Massachusetts et de Virginie (West) poursuivent encore leur bataille en justice contre l'éditeur, dans le cadre de cet autre grand chantier antitrust engagé depuis plus de 4 ans contre le numéro un du logiciel...
Quoi qu'il en soit, le juge MOTZ a tenu à souligner qu'il n'est pas "lié" à la décision prise par la juge fédérale. Le magistrat rendra sa décision après avoir entendu les nombreux témoins.
Dans le cadre d'un procès antitrust engagé en mars 2002 contre Microsoft, Sun demande la ré-intégration de sa plate-forme informatique Java, à la fois langage de programmation orienté-objet, outil de développement d'applications, et environnement d'exécution, au système d'exploitation Windows.
En outre, Sun estime que Microsoft a fait obstacle à l'utilisation de Java pour laisser le champ libre à sa propre plate-forme de services web (.NET). Il réclame plus d'un milliard de dollars de dommages et intérêts à l'éditeur.
Pour le lancement de Windows XP l'an dernier, Microsoft avait abandonné Java, avant d'annoncer qu'il allait à nouveau l'intégrer dans les mises à jour de son système d'exploitation, mais seulement à partir de 2004.
La transition est trop longue pour Sun... Le juge J.Frederick MOTZ, en charge de ce dossier, va-t-il prendre une décision en sa faveur ?
Mardi, un des avocats de Microsoft, David TULCHIN, a souligné que la juge Colleen KOLLAR-KOTELLY avait récemment rejeté la demande de 9 Etats plaignants, sur 18 à l'origine, visant à forcer Microsoft à intégrer Java.
Pour mémoire : La juge KOLLAR-KOTELLY a entériné l'accord à l'amiable conclu entre Microsoft, le Département américain de la justice (US-DOJ) et les 9 autres Etats américains.
Aujourd'hui, il semble que seuls les Etats du Massachusetts et de Virginie (West) poursuivent encore leur bataille en justice contre l'éditeur, dans le cadre de cet autre grand chantier antitrust engagé depuis plus de 4 ans contre le numéro un du logiciel...
Quoi qu'il en soit, le juge MOTZ a tenu à souligner qu'il n'est pas "lié" à la décision prise par la juge fédérale. Le magistrat rendra sa décision après avoir entendu les nombreux témoins.
