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Dans le cadre du procès antitrust engagé contre Microsoft, qui a obtenu les faveurs de 9 Etats américains sur 18 plaignants et du Département américain de la justice, c'est au tour de Palm de présenter ses arguments contre la firme aujourd'hui dirigée par Steve BALLMER.
Michael MACE, Directeur de la division logiciels (product planning) de Palm, était le 9ème témoin à charge à déposer ses arguments contre Microsoft devant le juge fédérale Colleen KOLLAR-KOTELLY.
Le juge devra, après que soient terminées les auditions, déterminer les sanctions applicables à Microsoft reconnu coupable de monopole dans un précédent jugement.
Selon Palm, le numéro un mondial du logiciel était prêt à partager un outil de développement avec lui avant de se rétracter en apprenant que le fabricant américain d'assistants numériques personnels participait à la procédure antitrust.
Pour Michael MACE, Microsoft a refusé à Palm l'accès au logiciel VSIP (Visual Studio Integration Program), alors que cet outil était censé être ouvert.
Par ailleurs, il estime que l'éditeur a dicté des conditions unilatérales à la compatibilité des assistants numériques Palm avec l'architecture .NET (Microsoft).
"Nous sommes heureux que Palm puisse maintenant se voir offrir l'accès à VSIP, mais le chemin pour en arriver là a été très ardu", a signalé le manager dans son témoignage écrit.
VSIP offre la possibilité aux développeurs de convertir leurs applications Windows en programmes exploitables par l'OS de Palm.
"Microsoft ne nous a envoyé le contrat qu'après que nous ayons apporté la preuve qu'il n'y avait pas d'obstacle au sein de l'équipe de Visual Studio elle-même [...] et après qu'il soit devenu évident que Palm participait à la procédure judiciaire actuelle", a conclu Michael MACE.
Michael MACE, Directeur de la division logiciels (product planning) de Palm, était le 9ème témoin à charge à déposer ses arguments contre Microsoft devant le juge fédérale Colleen KOLLAR-KOTELLY.
Le juge devra, après que soient terminées les auditions, déterminer les sanctions applicables à Microsoft reconnu coupable de monopole dans un précédent jugement.
Selon Palm, le numéro un mondial du logiciel était prêt à partager un outil de développement avec lui avant de se rétracter en apprenant que le fabricant américain d'assistants numériques personnels participait à la procédure antitrust.
Pour Michael MACE, Microsoft a refusé à Palm l'accès au logiciel VSIP (Visual Studio Integration Program), alors que cet outil était censé être ouvert.
Par ailleurs, il estime que l'éditeur a dicté des conditions unilatérales à la compatibilité des assistants numériques Palm avec l'architecture .NET (Microsoft).
"Nous sommes heureux que Palm puisse maintenant se voir offrir l'accès à VSIP, mais le chemin pour en arriver là a été très ardu", a signalé le manager dans son témoignage écrit.
VSIP offre la possibilité aux développeurs de convertir leurs applications Windows en programmes exploitables par l'OS de Palm.
"Microsoft ne nous a envoyé le contrat qu'après que nous ayons apporté la preuve qu'il n'y avait pas d'obstacle au sein de l'équipe de Visual Studio elle-même [...] et après qu'il soit devenu évident que Palm participait à la procédure judiciaire actuelle", a conclu Michael MACE.
