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L'Autorité de régulation des télécommunications (ART) vient de rendre public son tableau de bord du dégroupage de la boucle locale en France daté du 20 février 2002.
La boucle locale est un circuit physique «qui relie le point de terminaison du réseau dans les locaux de l'abonné au répartiteur principal ou à toute autre installation équivalente du réseau téléphonique public», précise l'ART dans un communiqué.
L'ART estime que le dégroupage est entré en phase commerciale. Le déploiement des opérateurs dans les sites de France Télécom a commencé dès l'été 2001, le dégroupage effectif de lignes d'abonnés est possible depuis novembre dernier.
Neuf opérateurs avaient commandé des salles de dégroupage, tous ont signé une convention de dégroupage avec France Télécom.
Par ailleurs, le processus de colocalisation (fourniture d'un espace et des ressources techniques nécessaires à l'hébergement et à la connexion des équipements techniques des opérateurs alternatifs) a débuté en avril 2001.
Quant aux premières livraisons de salles de colocalisation, elles ont débuté l'an dernier en juillet .
Pourtant remarque l'ART, «si le processus de commande de salles a démarré assez rapidement par rapport aux autres pays européens, on constate aujourd'hui un certain ralentissement du rythme des commandes.»
A la date du 20 février 2002, 125 salles de colocalisation ont été commandées par des opérateurs, parmi elles 113 ont été livrées (par France Télécom).
Au 20 février 2002, le nombre de lignes dégroupées (la boucle locale reste propriété de France Télécom, qui ne fait que la "louer" à ses concurrents) est d'environ 500. Entre janvier et février, une centaine de lignes supplémentaires ont été dégroupées par des opérateurs.
En matière de dégroupage, il existe toujours une forte disparité en faveur des régions parisienne, lyonnaise et marseillaise.
Enfin, France Télécom compte à ce jour 34 millions de lignes fixes, et environ 500 000 lignes ADSL.
La boucle locale est un circuit physique «qui relie le point de terminaison du réseau dans les locaux de l'abonné au répartiteur principal ou à toute autre installation équivalente du réseau téléphonique public», précise l'ART dans un communiqué.
L'ART estime que le dégroupage est entré en phase commerciale. Le déploiement des opérateurs dans les sites de France Télécom a commencé dès l'été 2001, le dégroupage effectif de lignes d'abonnés est possible depuis novembre dernier.
Neuf opérateurs avaient commandé des salles de dégroupage, tous ont signé une convention de dégroupage avec France Télécom.
Par ailleurs, le processus de colocalisation (fourniture d'un espace et des ressources techniques nécessaires à l'hébergement et à la connexion des équipements techniques des opérateurs alternatifs) a débuté en avril 2001.
Quant aux premières livraisons de salles de colocalisation, elles ont débuté l'an dernier en juillet .
Pourtant remarque l'ART, «si le processus de commande de salles a démarré assez rapidement par rapport aux autres pays européens, on constate aujourd'hui un certain ralentissement du rythme des commandes.»
A la date du 20 février 2002, 125 salles de colocalisation ont été commandées par des opérateurs, parmi elles 113 ont été livrées (par France Télécom).
Au 20 février 2002, le nombre de lignes dégroupées (la boucle locale reste propriété de France Télécom, qui ne fait que la "louer" à ses concurrents) est d'environ 500. Entre janvier et février, une centaine de lignes supplémentaires ont été dégroupées par des opérateurs.
En matière de dégroupage, il existe toujours une forte disparité en faveur des régions parisienne, lyonnaise et marseillaise.
Enfin, France Télécom compte à ce jour 34 millions de lignes fixes, et environ 500 000 lignes ADSL.
