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L'équipementier finlandais a publié des résultats bien meilleurs que prévus et confirme la prévision de croissance de 15% de son chiffre d´affaires pour 2002
L'annonce des résultats de l'équipementier télécom finlandais Nokia a redonné un souffle aux marchés financiers déprimés par la succession de mauvaises nouvelles et perspectives des grandes sociétés high tech en ce début d'année 2002.
En dépit d'une conjoncture difficile et d'une grave crise du secteur des telecoms, Nokia a, en effet, annoncé un bénéfice par action pro forma en baisse de seulement 4% à 0,24 euros pour le 4e trimestre 2001, un chiffre supérieur à ses propres prévisions de 0,18-0,20 euros (chiffre communiqué par le groupe le 11 décembre).
Le bénéfice imposable diminue quant à lui de 8% à 1,63 milliard d'euros, tandis que le chiffre d'affaires recule de 5%, soit moins que prévu, pour s'établir à 8,79 milliards d'euros.
Nokia, qui revendique une part de marché de 37% dans les téléphones portables, réitère en outre la prévision de croissance de son chiffre d'affaires en 2002 : « Nokia anticipe une amélioration de la situation du marché en 2002. Les activités d'infrastructures et de téléphones mobiles devraient toutes deux afficher une croissance d'environ 15% de leur chiffre d'affaires annuel », indique l'équipementier finlandais.
Le groupe maintient sa prévision de 420-440 millions de téléphones vendus en 2002 au total sur le marché mondial. Pour les réseaux, il réduit sa prévision et prévoit une stabilité des ventes.
Pour le premier trimestre 2002, Nokia reste toutefois prudent sur ses perspectives en anticipant un BPA de 0,15-0,17 euro, contre 0,22 un an plus tôt.
Mais dans un secteur en forte crise, où a publié les plus mauvais résultats de son histoire, ce que devrait faire également le suédois Ericsson ce vendredi, Nokia fait réellement figure d'exception et confirme largement son avance !
L'annonce des résultats de l'équipementier télécom finlandais Nokia a redonné un souffle aux marchés financiers déprimés par la succession de mauvaises nouvelles et perspectives des grandes sociétés high tech en ce début d'année 2002.
En dépit d'une conjoncture difficile et d'une grave crise du secteur des telecoms, Nokia a, en effet, annoncé un bénéfice par action pro forma en baisse de seulement 4% à 0,24 euros pour le 4e trimestre 2001, un chiffre supérieur à ses propres prévisions de 0,18-0,20 euros (chiffre communiqué par le groupe le 11 décembre).
Le bénéfice imposable diminue quant à lui de 8% à 1,63 milliard d'euros, tandis que le chiffre d'affaires recule de 5%, soit moins que prévu, pour s'établir à 8,79 milliards d'euros.
Nokia, qui revendique une part de marché de 37% dans les téléphones portables, réitère en outre la prévision de croissance de son chiffre d'affaires en 2002 : « Nokia anticipe une amélioration de la situation du marché en 2002. Les activités d'infrastructures et de téléphones mobiles devraient toutes deux afficher une croissance d'environ 15% de leur chiffre d'affaires annuel », indique l'équipementier finlandais.
Le groupe maintient sa prévision de 420-440 millions de téléphones vendus en 2002 au total sur le marché mondial. Pour les réseaux, il réduit sa prévision et prévoit une stabilité des ventes.
Pour le premier trimestre 2002, Nokia reste toutefois prudent sur ses perspectives en anticipant un BPA de 0,15-0,17 euro, contre 0,22 un an plus tôt.
Mais dans un secteur en forte crise, où a publié les plus mauvais résultats de son histoire, ce que devrait faire également le suédois Ericsson ce vendredi, Nokia fait réellement figure d'exception et confirme largement son avance !
