0
Napster fait appel d'une décision de la justice américaine lui ordonnant de maintenir la suspension de ses activités d'échanges de fichiers musicaux.
Le portail d'échanges de fichiers musicaux Napster va faire appel du jugement rendu mercredi par la justice américaine au cours d'une audience à huis clos.
Le juge Marilyn HALL PATEL avait ordonné à Napster de ne pas reprendre ses activités avant d'avoir apporté la preuve que son système de filtre des échanges de musique en ligne respecte la législation sur les droits d'auteur.
Le 2 juillet dernier, la direction de Napster avait elle même opté pour cette suspension afin de résoudre des problèmes techniques liés au filtrage des morceaux protégés par copyright.
Le Président de Napster, Hank BARRY, estime que l'efficacité à 99% du filtre peut être rapidement développée, et ce pour identifier et exclure les oeuvres notifiées par les maisons de disques comme étant protégées.
Pour mémoire : le jugement ordonnant l'arrêt des échanges de fichiers protégés avait été prononcé le 5 mars dernier.
Pressé, Hank BARRY a décidé de faire appel de la décision du juge PATTEL qui «met en péril le principe d'échanges de fichiers peer-to-peer sur Internet.»
«Nous allons travailler avec l'expert technique afin de remettre en route dès que possible les transferts de fichiers et nous continuerons d'avancer à plein régime vers notre nouveau service avant la fin de l'été», affirme le Président de Napster.
De son côté, Hilary ROSEN Présidente de la RIAA (Recording Industry Association of America) signale dans un communiqué officiel :
«Bien que nous apprécions la volonté de Napster pour adopter une structure légale, son incapacité à empêcher les violations des droits d'auteur ne fait qu'entraver le développement de plates-formes avec lesquelles il espère entrer en concurrence.»
De nouveaux bras de fer devant la justice américaine en perspective ?
Le portail d'échanges de fichiers musicaux Napster va faire appel du jugement rendu mercredi par la justice américaine au cours d'une audience à huis clos.
Le juge Marilyn HALL PATEL avait ordonné à Napster de ne pas reprendre ses activités avant d'avoir apporté la preuve que son système de filtre des échanges de musique en ligne respecte la législation sur les droits d'auteur.
Le 2 juillet dernier, la direction de Napster avait elle même opté pour cette suspension afin de résoudre des problèmes techniques liés au filtrage des morceaux protégés par copyright.
Le Président de Napster, Hank BARRY, estime que l'efficacité à 99% du filtre peut être rapidement développée, et ce pour identifier et exclure les oeuvres notifiées par les maisons de disques comme étant protégées.
Pour mémoire : le jugement ordonnant l'arrêt des échanges de fichiers protégés avait été prononcé le 5 mars dernier.
Pressé, Hank BARRY a décidé de faire appel de la décision du juge PATTEL qui «met en péril le principe d'échanges de fichiers peer-to-peer sur Internet.»
«Nous allons travailler avec l'expert technique afin de remettre en route dès que possible les transferts de fichiers et nous continuerons d'avancer à plein régime vers notre nouveau service avant la fin de l'été», affirme le Président de Napster.
De son côté, Hilary ROSEN Présidente de la RIAA (Recording Industry Association of America) signale dans un communiqué officiel :
«Bien que nous apprécions la volonté de Napster pour adopter une structure légale, son incapacité à empêcher les violations des droits d'auteur ne fait qu'entraver le développement de plates-formes avec lesquelles il espère entrer en concurrence.»
De nouveaux bras de fer devant la justice américaine en perspective ?
