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La Chambre de Commerce Internationale a révélé la découverte d'une escroquerie record sur Internet. Un réseau de 29 sites web serait impliqué.
La Chambre de Commerce Internationale (CIC) vient de mettre à jour une escroquerie d'un montant 4 milliards de dollars sur Internet.
Celle-ci, reposant sur l'émission de fausses garanties bancaires, aurait été menée par un réseau de 29 sites web fermés depuis.
«Le cerveau de l'opération court toujours» remarque Jon MERRETT, Directeur adjoint du bureau des fraudes commerciales et des unités de lutte contre la cybercriminalité de la CIC (iccwbo.org).
«Il semble que deux personnes aient été arrêtées en Suisse et deux autres à San Francisco. Mais il ne s'agissait pas des organisateurs» ajoute Jon MERRETT.
Les victimes, une dizaine, auraient chacune payé des milliers de dollars pour l'émission de ces garanties bancaires fictives validées par les sites web en question.
Cette trentaine de sites, hébergés par un prestataire américain, avaient «l'apparence de la légitimité». Ceux-ci prétendaient être administrés par une chambre de compensation internationale ou par une agence d'informations financières en fonction des cas.
Le bureau des fraudes commerciales de la Chambre de Commerce Internationale aurait été alerté il y a six mois. Celui-ci estime que les premières escroqueries datent de 1999.
La CIC signale par ailleurs que de nouvelles victimes se sont manifestées depuis que l'affaire a été rendue publique. Le montant total de l'escroquerie reste à évaluer.
Selon Jon MERRETT : «Les fournisseurs d'accès ne vérifient pas l'identité de leurs clients. C'est le problème.»
La Chambre de Commerce Internationale (CIC) vient de mettre à jour une escroquerie d'un montant 4 milliards de dollars sur Internet.
Celle-ci, reposant sur l'émission de fausses garanties bancaires, aurait été menée par un réseau de 29 sites web fermés depuis.
«Le cerveau de l'opération court toujours» remarque Jon MERRETT, Directeur adjoint du bureau des fraudes commerciales et des unités de lutte contre la cybercriminalité de la CIC (iccwbo.org).
«Il semble que deux personnes aient été arrêtées en Suisse et deux autres à San Francisco. Mais il ne s'agissait pas des organisateurs» ajoute Jon MERRETT.
Les victimes, une dizaine, auraient chacune payé des milliers de dollars pour l'émission de ces garanties bancaires fictives validées par les sites web en question.
Cette trentaine de sites, hébergés par un prestataire américain, avaient «l'apparence de la légitimité». Ceux-ci prétendaient être administrés par une chambre de compensation internationale ou par une agence d'informations financières en fonction des cas.
Le bureau des fraudes commerciales de la Chambre de Commerce Internationale aurait été alerté il y a six mois. Celui-ci estime que les premières escroqueries datent de 1999.
La CIC signale par ailleurs que de nouvelles victimes se sont manifestées depuis que l'affaire a été rendue publique. Le montant total de l'escroquerie reste à évaluer.
Selon Jon MERRETT : «Les fournisseurs d'accès ne vérifient pas l'identité de leurs clients. C'est le problème.»
