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WSJ.com, le site payant du quotidien financier The Wall Street Journal, va licencier «un nombre limité» de ses salariés.
Face au ralentissement de l'économie américaine, WSJ.com, site web par abonnement payant du plus grand quotidien économique et financier américain The Wall Street Journal, va réduire ses effectifs.
Pour faire face à la baisse des recettes publicitaires, le propriétaire du titre Dow Jones & Co. a décidé de réduire ses coûts.
WSJ.com n'est pas le premier site d'actualité à décider de se séparer d'une partie de ses salariés pour assurer son développement dans les années à venir. Outre-Atlantique, les sites de contenus connaissent une période difficile. Parmi les restructurations du secteur celle du New York Times.com avait fait grand bruit.
Ce qui est frappant dans le cas présent, c'est que le WSJ.com est l'un des succès les plus remarquables des sites d'actualité en ligne dans le monde.
Créé en 1995, le WSJ.com reste encore aujourd'hui l'un des rares quotidiens électroniques payants aux Etats-Unis et compte plus de 500 000 abonnés (mais une chute de 40% du nombre de visites au moment de la mise en place de l'accès payant en 1996.)
Ce modèle a attiré de nombreux annonceurs (plus de la moitié des revenus du WSJ.com en 2000 venaient de la publicité) notamment du fait que l'internaute type du Wall Street Journal.com dispose d'un pouvoir d'achat très élevé et le plus souvent d'un bon portefeuille d'actions...
Le WSJ.com emploie actuellement 250 personnes environ dont plus de la moitié de journalistes en ligne. La direction du groupe n'a pas encore communiqué le nombre de salariés concernés par les licenciements.
Karen MILLER PENSIERO porte-parole de Dow Jones & Co. précise tout de même : «La plupart des suppressions d'emplois vont s'effectuer par le biais de départs naturels, même si une petite part du personnel sera concernée par des licenciements secs.»
Face au ralentissement de l'économie américaine, WSJ.com, site web par abonnement payant du plus grand quotidien économique et financier américain The Wall Street Journal, va réduire ses effectifs.
Pour faire face à la baisse des recettes publicitaires, le propriétaire du titre Dow Jones & Co. a décidé de réduire ses coûts.
WSJ.com n'est pas le premier site d'actualité à décider de se séparer d'une partie de ses salariés pour assurer son développement dans les années à venir. Outre-Atlantique, les sites de contenus connaissent une période difficile. Parmi les restructurations du secteur celle du New York Times.com avait fait grand bruit.
Ce qui est frappant dans le cas présent, c'est que le WSJ.com est l'un des succès les plus remarquables des sites d'actualité en ligne dans le monde.
Créé en 1995, le WSJ.com reste encore aujourd'hui l'un des rares quotidiens électroniques payants aux Etats-Unis et compte plus de 500 000 abonnés (mais une chute de 40% du nombre de visites au moment de la mise en place de l'accès payant en 1996.)
Ce modèle a attiré de nombreux annonceurs (plus de la moitié des revenus du WSJ.com en 2000 venaient de la publicité) notamment du fait que l'internaute type du Wall Street Journal.com dispose d'un pouvoir d'achat très élevé et le plus souvent d'un bon portefeuille d'actions...
Le WSJ.com emploie actuellement 250 personnes environ dont plus de la moitié de journalistes en ligne. La direction du groupe n'a pas encore communiqué le nombre de salariés concernés par les licenciements.
Karen MILLER PENSIERO porte-parole de Dow Jones & Co. précise tout de même : «La plupart des suppressions d'emplois vont s'effectuer par le biais de départs naturels, même si une petite part du personnel sera concernée par des licenciements secs.»
