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Merrill, qui en avril 2008 a fait le choix de quitter la société internet américaine pour intégrer un groupe britannique presque octogénaire, fait-il les frais de la réorientation stratégique engagée par la major du disque ?
« Les ventes de musique numérique représentent désormais plus de 20% des revenus d'EMI Music. La société finalise maintenant l'intégration de toutes ses fonctions numériques dans ses opérations globales et ne va plus administrer de département numérique dédié », a indiqué la mutinationale du disque dans un mémo obtenu par All Things D.
Alors que Douglas Merrill a été remercié par EMI, la plus petite des quatre majors du disque, Cory Ondrejka, ex-directeur technique de Linden Lab (Second Life), a été promu vice-président du 'marketing' numérique... Un jeu de dupes ?
