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La société Firstway Medien GmbH avait en effet cherché à profiter du succès du logiciel libre pour déposer la marque "eMule" et pour distribuer des versions spéciales d'un logiciel payant sous ce même nom. Le logiciel en question, en plus d'être payant, bloquait le port 4662 utilisé en standard par la version originale d'eMule.
Cette affaire aurait du se terminer devant les tribunaux mais finalement un accord a été trouvé entre les deux parties. On ignore les détails de cet accord mais Firstway Medien GmbH devrait rendre à César ce qui apparatient à César, à savoir la marque eMule aux développeurs du logiciel P2P distribué depuis quelques années déjà.
eMule qui avait récolté via le site Freemule.net plus de 22 000 Euros pour faire face aux frais de justice devrait reverser cette somme aux différents donateurs.
Si vous êtes intéressé par les problèmes juridiques que pose actuellement le Peer To Peer, nous vous conseillons la lecture de cette étude très intéressante sur ce sujet d'actualité.
