Acer a annoncé le renouvellement de quelques uns de ses vidéoprojecteurs portables et transportables polyvalents. Comme dans d'autres secteurs, le Wi-Fi se démocratise.
Acer a présenté X nouveaux projecteurs, destinés aux professionnels nomades comme aux vacanciers. Ils reposent tous sur le procédé DLP 3D Ready et une source lumineuse à LED. Ce sont principalement la luminosité, la définition et les connectiques qui les distinguent.
140 x 116 x 41 mm pour 420 g
Acer K1 et K3
Acer propose pour commencer les K1 et K3, qu'il présente comme des « projecteurs de voyage », assez peu lumineux mais en contrepartie légers et compacts. À défaut de pouvoir fonctionner sur batterie, ils sont relativement autonomes puisqu'ils disposent d'enceintes et de connectivités compatibles avec les principaux terminaux mobiles.
La famille K se compose de trois modèles :
K132 : définition WXGA (1280 x 800 pixels), 500 lumens, haut-parleur de 2 W et entrée MHL pour 500 euros
K135 : idem mais connectivité Wi-Fi compatible DLNA et Miracast en plus, pour 600 euros
K335 : idem K135 mais 1000 lumens et haut-parleur de 3 W pour 750 euros
Les trois modèles disposent d'un zoom 1,7x.
232 x 166 x 46 mm pour 1,3 kg
Acer P1 et P5
Les P1 et P5 se destinent quant à eux aux professionnels en déplacement et offrent à ce titre une multitude de combinaisons de ratios, de définitions et de luminosités :
P1273 : 3000 lumens, définition XGA (1024 x 768 pixels donc ratio 4:3), 400 euros
P1276 : 3500 lumens, définition XGA, 460 euros
P1341 : 3000 lumens, définition WXGA (1280 x 800 pixels donc ratio 16:10), 550 euros
P1500 : 3000 lumens, définition Full HD (1920 x 1080 pixels donc ratio 16:9) 750 euros
P5207 : 4000 lumens et définition XGA, 750 euros
P5307 : 4000 lumens et définition WXGA, 850 euros
Tous ces modèles sont dépourvus de haut-parleurs et se contentent de connectiques filaires plus conventionnelles, qui les destinent à être connectés à des ordinateurs. Ils disposent principalement d'entrées VGA et HDMI 1.4a.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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