BenQ a récemment annoncé le « Joybee GP3 », nouvelle version de son vidéoprojecteur nomade autonome et universel.
BenQ commercialise depuis peu le « Joybee GP3 », un vidéoprojecteur miniature qui présente la particularité de pouvoir fonctionner sans fil avec un grand nombre de sources.
140,3 x 129,8 x 52,5 mm pour 560 g sans batterie
Pour ce faire, le GP3 peut pour commencer fonctionner sur batterie, avec une option lui conférant une autonomie de 2h30 à 150 lumens. Il délivre 300 lumens sur secteur, et dans la plupart des cas l'adaptateur secteur sera le seul cordon utilisé.
Le GP3 abrite effectivement sa propre paire de haut-parleurs de 2 W chacun, mais il peut aussi et surtout projeter une multitude de sources sans fil supplémentaire. Il dispose d'un dock iPod/iPhone (à 30 broches), d'un lecteur de carte SD et d'un port USB, tous deux associés à un lecteur multimédia intégré, mais aussi d'une connectivité Wi-Fi N (adaptateur USB fourni), permettant de diffuser des contenus depuis un smartphone ou une tablette via DLNA (applications Android et iOS fournies), ou depuis un ordinateur via un logiciel maison.
Il innove même en connectique filaire, avec un port mini USB reposant sur la technologie DisplayLink. On trouve également une entrée mini HDMI et des entrées vidéo analogiques, en plus d'entrées et sorties audio 3,5 mm. Les haut-parleurs peuvent d'ailleurs servir indépendamment de la vidéoprojection.
Le BenQ GP3 est par ailleurs un vidéoprojecteur miniature comme un autre. Il repose sur le procédé DLP et sur une source lumineuse à LED qui délivrent une image WXGA (1280 x 800 pixels) avec un taux de contraste de 10 000:1. L'optique grand angle offre un rapport de projection de 1,16, ce qui permet de projeter une diagonale de 40 pouces à 1 m.
Le BenQ Joybee GP3 est disponible en France depuis la fin du mois de mai au prix public de 480 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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